Retrouvez l'historique de toutes nos comm's sur ce blog ! (menu en bas à droite)

mercredi 31 août 2022

Votre bureau est-il suffisamment aéré? L'outil pour calculer !

Fin juin 2022 la direction SSG nous remontait ENFIN les premières mesures (inquiétantes) des mesureurs de CO2 sur les sites SSG non équipés de CTA. 

Par exemple :

Albi, 2 personnes avec la clim en marche dans une salle de réunion, on atteint 1195 ppm CO2 !
Rennes Antipolis, 8 personnes en 114/115, climatisation, 1136 ppm CO2.
Rennes Antipolis, dans un open space, alors qu’il y a une faible occupation, 856ppm puis 836 ppm, puis 854 ppm. Quand il n’y a plus que 2 personnes dans l’open space, on atteint quand même 910 ppm, avant de redescendre à 755 ppm après plus de 30 min, fenêtres ouvertes.
Rennes CdB, 1029 ppm CO2 en salle 003. Dès qu’il y a plus de 3 personnes dans la salle, on dépasse les 885, 4 personnes 977, …
Toulon, dans le bureau de l’assistante, 804 ppm, dans la salle de réunion 807ppm, Dans le bureau site sûr 1497 ppm ! Tous ces espaces sans fenêtre…
Tours : RAS, excepté bureau 1206 où on note 1704 ppm.
Vannes : 820ppm en salle Vénétis, entre 727 et 814 en salle 111…

Rien au CSE de fin juillet 2022, ni actions tirées des mesures passées, ni nouvelles mesures… 

Nous vous conseillons l’excellent outil de l’INRS pour estimer la quantité de ppm dans l’air en fonction du temps dans une pièce aérée ou non, selon le nombre d’occupants. https://www.inrs.fr/media.html?refINRS=outil97    


Rappel : Les instructions de l'INRS et de l'état sont de ne pas dépasser le seuil de 800 ppm. Hors Covid, le seuil passe à 1000ppm. Mais même celui-ci est dépassé à l'heure actuelle sur certains sites SSG !

Très instructif ! où l’on apprend que les sites non aérés avec des fenêtre ouvrant à 9 cm ne peuvent pas permettre de descendre le taux de CO2, même en maintenant la fenêtre ouverte en permanence ! 

Cela confirme les remarques de vos élus CFDT sur l'irréalisme des instructions de la direction d’ouvrir 10 min par heure…



lundi 29 août 2022

Message de la CFDT CS Group : ÉLÉMENTS DE RÉFLEXION À L’USAGE DES DIRIGEANTS ACTUELS ET/OU FUTURS

Message de la CFDT CS Group, dont la société va être rachetée par Sopra Steria : à méditer !

ÉLÉMENTS DE RÉFLEXION À L’USAGE DES DIRIGEANTS ACTUELS ET/OU FUTURS
 

1er trimestre 2022 : 550 000 salariés ont démissionné, du jamais vu
 

En France, au premier trimestre 2022, environ 550 000 salariés, hors ruptures conventionnelles, ont démissionné. Ce phénomène s’observe aussi dans nos entreprises.

Le système est à bout de souffle. Les communications d’entreprise vides de sens et sans rapport avec la réalité du travail, n’arrivent plus à duper personne.

Ceci est une opportunité : les directions qui veulent attirer des salariés devront proposer des conditions de travail (matérielles et sociales) dignes et respectueuses du travail.

 

Si l’organisation du travail imposée ne donne pas satisfaction, les salariés peuvent aller voir ailleurs pour avoir mieux…et ils seraient bien bêtes de s’en priver


 

Respect du travail des salariés

Dans la situation actuelle, la survie des entreprises passe par leur capacité à recruter et garder son personnel.  Pour cela, une seule solution : mettre en place une organisation centrée sur la question du travail.


Dès lors, nous pourrions conseiller aux dirigeants actuels et/ou futurs :

  • d’arrêter leur communication insipide et creuse ayant pour vocation d’emballer du vide et de la coercition. Il n’y a pas pire répulsif que l’impression d’être pris pour un imbécile. Stop au baratin. Les salariés n’ont que faire de l’agilité, de la proactivité, de la marque employeur, des territoires / villages de flex-office et autres bureaux dynamiques…
  • d’arrêter de dégrader les conditions de travail : densification des bureaux, matériel obsolète, flex-office, généralisation contrainte du télétravail, dégradation des salaires du fait de l’inflation, etc...
  • d’arrêter de casser les collectifs de travail qui ont développé un savoir-faire pour travailler ensemble car c’est dans ces relations informelles que se niche le plaisir de travailler,
  • d’arrêter la prétention d’ « apprendre » aux équipes comment travailler (alors même que ces « élites »  ne connaissent pas le travail que nous effectuons).

En revanche, nous pourrions leur conseiller :

  • une communication d’entreprise centrée sur le travail réel,
  • une amélioration des conditions matérielles de travail,
  • une prise en compte, en priorité, de la richesse des collectifs de travail qui n’ont pas besoin des directions pour apprendre à travailler et avoir du plaisir à le faire.

C’est à ces conditions que les entreprises pourront attirer et fidéliser les salariés

 
Rachat par SOPRA : les fusions sont toujours synonymes de casse sociale
 

La réalisation du projet de rachat de CS-Group par Sopra entre pleinement dans ce cadre. Partout l’expérience a montré que ces fusions-acquisitions provoquent une casse sociale importante avec :

  • l’hémorragie des effectifs allant jusqu’à mettre en danger le travail à réaliser,
  • la casse des collectifs de travail ayant, au fil des projets, développé la capacité à travailler ensemble de façon efficiente (richesse inestimable).
  • un cortège interminable de salariés mis à l’écart, laissés pour compte, en arrêt maladie, en dépression, etc..

Avec le rachat de CS-Group par Sopra, deux possibilités incompatibles existent :

  • maintenir les équipes de travail et les collectifs de salariés sans les déstructurer
  • ou détruire la structure de CS-Group avec pour conséquence l’hémorragie des effectifs et une casse sociale importante.

Le maintien d’une structure juridiquement autonome permettra à la direction de Sopra de limiter l’hémorragie de salariés et la casse sociale. Nous demandons à la direction de CS-Group et de Sopra d’œuvrer en ce sens.

vendredi 26 août 2022

Intéressement 2022 SSG, SBS, I2S et HR : 1020€ brut maximum par salarié !

La participation, pour laquelle la direction refuse de signer un accord, sera par contre encore à 0€ pour la plupart des salariés…

Pour rappel, les résultats du groupe 2021 sont très très bons !!!

Le plus haut Chiffre d'Affaire jamais enregistré (4,531 Milliards d' €)!
Le Taux de marge opérationnelle d’activité, a augmenté de plus d’un point = 8,1 % soit le 2ème plus haut taux de marge depuis 2016!!!
La trésorerie est supérieur à 250 M€ (objectif annoncé = « entre 150 M€ et 200 M€ ») Un niveau JAMAIS atteint par le groupe.

L’accord prévoit qu’à 8% de ROA l’intéressement est de 1000€, donc à 8,1 %, nous avons 1020€ brut par salarié présent toute l’année 2021.

Un sur-intéressement, s’ajoutant à l’intéressement, peut être décidé au niveau du Conseil d’Administration. Selon la loi (L3314-10) le supplément d’intéressement (ou sur-intéressement) doit être distribué de la même façon que l’intéressement selon l’accord en place. Si sur-intéressement il y a, la direction se doit donc de procéder de la même façon, en fonction du temps de présence uniquement, et en ne distinguant pas temps partiel et temps plein. J

L’intéressement -> Détails :
Cela fait donc, en enlevant la CSG CRDS 9,2%+0,5% = 9,7%. Pour 1020 € brut => 1020-9,7%= 
921, 06€ net maximum pour une année 2021 de présence complète.

En réalité, l’expérience nous montre que les salariés ne touchent en moyenne que 80% de cette somme (absence, arrivée et départ en cours d’année…). L’intéressement réel est donc plutôt de 764€ en moyenne.

Pour qui ?
Pour tous les salariés de Sopra Steria Group, SBS, I2S, Sopra HR, ayant une ancienneté d’au moins 3 mois (tous contrats compris CDD, …) au 31/12/2021 ou à la date de départ en cas de rupture de contrat en 2021.
(Les mandataires sociaux non titulaires d’un contrat de travail n’ont pas le droit à cette prime, mais cela ne retire personne, car les DG et autres ont tous un contrat de travail chez SSG...)

Combien ?
Le calcul de la prime d’intéressement se fait seulement au prorata du temps de présence sur l’année 2021.
Les salariés à temps partiel ont le même montant d’intéressement que ceux à temps plein !
Ceci est un héritage des accords passés, négociés par la CFDT 😊

Sont donc déduites du temps de présence toutes les absences sauf : Accident de travail, accident de trajet, maladies professionnelles ; Maladies garantie (90 jours par année glissante) ; Congés maternité ou adoption ; Congés paternité ; Jours fériés ; Congés payés (principal, d’ancienneté…) ; Formation professionnelle ; Congés pour événements familiaux (mariage, naissance, décès, enfants malades…) ; Repos compensateur ; congés pour projet de transition professionnelle, congés de VAE.

Sont donc déduites : les arrivées/départs en cours d’année, les congés sabbatiques, les congés parentaux, les sans soldes,…

Comment ?
Cette prime doit être versée au plus tard le 31/05/2022.
ATTENTION, par défaut la prime d’intéressement est versée et bloquée sur le PEE, mais vous pouvez choisir de vous le faire verser. PENSEZ À CHOISIR LE PAIEMENT si vous le voulez, sinon l’intéressement sera bloqué sur le PEE !

----------------------------------------------------------------

Afin de nous permettre de continuer à vous informer, conseiller et défendre,
VOTEZ CFDT aux prochaines élections (fin 2023) !

jeudi 25 août 2022

Tous ensemble pour un meilleur partage de la richesse !

 


 
COMMUNIQUE INTERSYNDICAL

"La préservation du pouvoir d’achat nécessite
un meilleur partage de la richesse

A l’heure où les conflits sociaux se multiplient pour obtenir des revalorisations salariales légitimes au moins à la hauteur du taux d’inflation, la question du pouvoir d’achat est centrale pour les travailleurs et travailleuses. Alors que les débats commencent à l’Assemblée nationale sur cet enjeu prioritaire, nos organisations respectives réaffirment ensemble que le sujet relève également des politiques salariales dans les branches, les entreprises et la Fonction publique. Parce qu’elles considèrent que le salaire relève du partage des richesses, les organisations syndicales et de jeunesse sont unanimes sur le fait que le sujet prioritaire doit être l’augmentation des salaires, des retraites et pensions, des minimas sociaux et des bourses d’études.

Une succession de mesures ponctuelles et majoritairement financées par l’Etat ne peut constituer un ensemble suffisant pour répondre à l’urgence. Réduire les inégalités, notamment entre les femmes et les hommes, exige avant tout des mesures visant à une meilleure répartition des richesses au profit des salariés. Le salaire doit demeurer la base d’un partage des richesses rééquilibré en faveur des salariés. La prise en charge de mesures de pouvoir d’achat est aussi de la responsabilité des employeurs privés comme publics.

Les organisations syndicales et de jeunesse réaffirment que le SMIC doit demeurer un salaire d’embauche et qu’il ne peut pas être une trappe à bas salaires maintenant les salariés au SMIC toute leur carrière professionnelle.

La conditionnalité des aides aux entreprises est aujourd’hui un impératif. Elle doit permettre aux branches professionnelles et aux entreprises de mener des politiques plus concrètes en matière sociale et environnementale, notamment par le dialogue social. Le futur débat parlementaire doit permettre d’avancer notamment sur cette conditionnalité des aides aux entreprises qui ne jouent pas le jeu en matière salariale.

Les organisations syndicales et de jeunesse rappellent que ces exonérations et allègements de cotisations mettent à mal notre système de protection sociale collective.

Nos organisations conviennent de se réunir à nouveau début septembre afin de poursuivre leurs échanges.

Paris, le 12 juillet 2022"



vendredi 19 août 2022

ET VOUS, OÙ EN EST VOTRE SALAIRE ?

Contactez-nous, dscfdtsoprasteria@gmail.com

Vos élus CFDT ont créé un outil afin de déterminer votre positionnement salarial !

Il suffit d’un rendez-vous pour obtenir votre comparatif par rapport aux autres salariés de votre société (SSG, SBS, I2S, SHRS) de même profil, classification, avec l’âge, l’ancienneté, etc.
Et ainsi avoir des chiffres et vous défendre pour les prochains CRH !




mercredi 17 août 2022

Le Saviez-vous? Vos droits : Apprentis dans le groupe ou ailleurs? Les règles qui s'appliquent !

 APPRENTIS : RÉMUNÉRATION, TEMPS DE TRAVAIL, CONGÉS PAYÉS... QUELS SONT VOS DROITS ?


Pour de nombreux apprentis, la fin de la période estivale sonne la reprise de la formation professionnelle dans le centre d’apprentissage et dans l’entreprise d’accueil. L’occasion pour la CFDT de dresser un bref panorama des droits de leurs droits...


APPRENTISSAGE : DE QUOI PARLE-T-ON ?

L’apprentissage, formalisé par un contrat écrit conclu entre un apprenti et un employeur, permet au premier de bénéficier d’une formation professionnelle complète, dispensée pour partie en entreprise et pour partie en centre de formation d'apprentis ou en section d'apprentissage (1).

Il est accessible à toute personne âgée de 16 à 29 ans, étant souligné qu’il peut être ouvert, sous exceptions, dès l’âge de 15 ans, et au-delà de 29 ans révolus (2).

UNE RÉMUNÉRATION EN FONCTION DE L’ÂGE ET DE L’ANCIENNETÉ

Le Code du travail prévoit que l’apprenti perçoit un salaire ne pouvant être inférieur à un certain pourcentage du Smic et qui varie en fonction de l’âge et de l’ancienneté (3) dans le cycle de formation faisant l’objet de l’apprentissage.  

Selon la loi, voici de manière synthétique les montants minimums de rémunération devant être perçus par l’apprenti pour l'année 2021  (4) : (ces minimas peuvent être augmentés par accord de branche ou d'entreprise, c'est la cas pour nous!)

 

-de 18 ans

18 à 20 ans

21 à 25 ans

26 ans et +

1re année

419,74 €

(27 % du Smic)

668,47 €

(43 % du Smic)

823,94 €

(53 % du Smic)

1 554,58 €

(100 % du Smic)

2è année

606,29 €

(39 % du Smic)

792,84 €

(51 % du Smic)

948,30 €

(61 % du Smic)

1 554,58 €

(100 % du Smic)

3è année

805,02 €

(55 % du Smic)

1 041,57 €

(67 % du Smic)

1 212,58 €

(78 % du Smic)

1 554,58 €

(100 % du Smic)


Dans nos entreprise SOPRA STERIA, SBS, HR, I2S,etc. La convention collective des Bureaux d'études s'applique, notamment grâce à la signature de la CFDT ! Le tableau ci-dessous indique la rémunération minimale des apprentis en pourcentage du Smic ou du Smc (salaire minimum conventionnel) s'il est supérieur :

Année
d'exécution
Moins
de 18 ans
18 à moins de 21 ans21 ans et plus
Niveau
de formation

Niveaux
préparés
II et III
Niveau
préparé
I
Niveaux
préparés
II et III
Niveau
préparé
I
1re année33 %43 %48 %55 %65 %
2e année43 %53 %58 %65 %75 %
3e année58 %68 %70 %80 %80 %

du Smicdu salaire minimum conventionnel
(à retrouver sur notre site)

Notre convention collective, précise, dans cet accord signé par la CFDT

" Il convient alors de donner à l'apprenti(e) la qualification adéquate, en cohérence avec son poste et avec le système de rémunération de l'entreprise.

Les majorations de salaire prévues en fonction de l'âge s'appliquent le premier jour du mois suivant la date anniversaire de l'apprenti(e).
Selon les articles R. 6222-15 et R. 6222-18, lorsque l'apprentissage ne porte que sur la seconde année d'un cycle de formation, les « apprentis sont considérés notamment en ce qui concerne la rémunération minimale comme ayant déjà effectué une première année d'apprentissage ». Ce qui signifie, par exemple, qu'un master suivi en apprentissage seulement en deuxième année ouvre droit à une rémunération minimale de deuxième année. La même règle s'applique aux niveaux I, II et III lorsque l'apprentissage n'a lieu que sur la dernière partie du cursus.
En cas de redoublement, la rémunération de l'apprenti(e) est maintenue au même niveau que l'année précédente."

Notons que lorsque l’apprenti est conduit à réaliser des heures supplémentaires, celles-ci sont rémunérées selon les modalités applicables aux salariés de l’entreprise d’accueil (5).

QUELLES RÈGLES EN MATIÈRE DE TEMPS DE TRAVAIL ?

La durée légale de travail des apprentis est de 35 heures. Il est à noter que le temps passé en formation est considéré comme du temps de travail effectif - donc pris en compte dans le décompte du temps de travail.

Des règles particulières ont été prévues en matière de temps de travail lorsque l’apprenti est âgé de moins de 18 ans :

Tout d’abord, celui-ci ne peut travailler plus de 8 heures par jour et 35 heures par semaine (6). Des dérogations sont toutefois possibles pour certaines activités déterminées par décret, lorsque l’organisation du travail le justifie.

Par ailleurs, le travail de nuit est interdit pour les apprentis âgés de moins de 18 ans (7) :

·         interdiction du travail entre 22h et 6h pour les travailleurs entre 16 et 18 ans ;

·         interdiction du travail entre 20h et 6h pour les travailleurs de moins de 16 ans.

Des dérogations peuvent toutefois être accordées en fonction des caractéristiques particulières de l’activité (8).

Le travail lors des jours fériés est également interdit (9).

Les jeunes travailleurs doivent bénéficier d’un repos quotidien (10) :

·         de 12 heures consécutives lorsqu’ils sont âgés de moins de 18 ans ;

·         de 14 heures consécutives lorsqu’ils sont âgés de moins de 16 ans.

Enfin, ils doivent bénéficier d’un repos de 2 jours consécutifs par semaine, sauf exception justifiée par l’activité prévue par un accord collectif, ou, à défaut, autorisée par l’inspection du travail (11).

UN DROIT À CONGÉS PAYÉS IDENTIQUE AUX SALARIÉS DE L’ENTREPRISE

L’apprenti bénéficie, dès lors qu'il en remplit les conditions, d’un droit à congés payés de 5 semaines minimum par an, sauf bien entendu si la convention collective ou l'accord collectif applicable à l'entreprise est plus favorable.

À noter que lorsque l’apprenti est âgé de moins de 21 ans au 30 avril de l’année précédente, il peut demander à bénéficier d’un congé supplémentaire, sans solde, dans la limite de 30 jours ouvrables par an (12).

En période d’examen, l’apprenti a droit à un congé supplémentaire rémunéré de 5 jours ouvrables le mois précédant l’examen (13) pour s'y préparer dans les meilleures conditions.

AVEZ-VOUS PENSé à la prime d'activité ? 

Selon votre rémunération, vous pouvez avoir droit à la prime d'activité! 

 Sur le site de la CAF : https://wwwd.caf.fr/wps/portal/caffr/simulateurpa/

Sopra Steria n'est pas perdant ! 

Sopra Steria a reçu une aide de 8000€ pour chaque apprenti (de plus de 18 ans) dont le contrat est signé entre le 01/07/2020 et le 31/12/2021 ! En 2023, c'est encore 6000€ pour chaque apprenti !


Sans oublier l'exonération des cotisations et contributions patronales et salariales pendant toute la durée du contrat :  

·         Pas de CSG ni de CRDS à payer sur la rémunération de l'apprenti; 

·         Exonération des cotisations maladie, maternité, invalidité, décès, vieillesse;

·         Exonération des cotisations salariales pour l'assurance chômage.


[1] Art. L.6221-1 C.trav.

[2] Art. L.6222-1 et 2 C.trav.

[3] Art. L.6222-27 C.trav.

[4] Art. D.6222-26 C.trav

[5] Art. L.6222-28 C.trav.

[6] Art. L.6222-25 et L.3162-1 C.trav.

[7] Art. L.3163-1 C.trav.

[8] Art. L.3163-2 C.trav.

[9] Art. L.3164-6 C.trav.

[10] Art. L.3164-1 C.trav.

[11] Art. L.3164-2 C.trav.

[12] Art. L.3164-9 C.trav.

[13] Art. L6222-35 C.trav.



 

jeudi 11 août 2022

Protégez-vous ! Adhérez !

 (Cliquez sur l'image pour accéder à l'adhésion en ligne)



Se syndiquer, c’est donner du poids à ses revendications. C’est participer à la vie et à l’action collective pour gagner de nouveaux droits. L’union fait la force et seule l’action collective et le rapport de force font bouger les choses. Vous avez la possibilité de ne pas rester spectateurs face à tout ce qui touche nos droits.

Plus nous sommes nombreux, plus nous sommes représentatifs. Plus nous sommes nombreux, plus nous avons la chance d’être entendus, d’être légitimes face à la direction. Être adhérent, c'est être informé, soutenu si nécessaire et participer à la vie de la collectivité.

NOTRE EMPLOYEUR donne du poids à ses actions, malgré tous ses moyens, il sait que c'est indispensable pour lui et il ADHÈRE AU SYNDICAT PATRONAL SYNTEC !
95% des patrons sont syndiqués !
Les salariés ont encore plus besoin de se syndiquer
pour défendre ses intérêts !
Pour donner du poids à nos revendications, syndiquons-nous !
Vous voulez en discuter, contactez-nous !

Cinq valeurs qui font de l’homme le véritable acteur de ses choix de vie, pour construire un monde plus équitable et durable avec la CFDT.

Émancipation | Inscrite dans nos statuts, l’émancipation, tant individuelle que collective, est pour nous un droit inaliénable,
- Pour diriger sa vie.
- Pour imposer le respect de la dignité et de la liberté dans l’entreprise et au sein de la société, et pour satisfaire les besoins de chacun, matériels et intellectuels, dans sa vie professionnelle et personnelle.

Démocratie | Une valeur qui est l’identité même de la CFDT, elle se trouve d’ailleurs au cœur de notre sigle,
- Pour s’exprimer librement et participer à la prise de décision.
- Pour être acteur de l’amélioration de ses conditions de travail et de vie, au-delà de toute différence d’origine, de nationalité, de confession religieuse et d’opinion. 

Indépendance | La CFDT estime indispensable de distinguer ses responsabilités de celles de l’État, des partis politiques et des confessions religieuses,
- Pour conserver son autonomie et son sens critique.
- Pour impulser ou infléchir les décisions gouvernementales.

Autonomie | L’indépendance de pensée et d’action ne peut se concevoir si la CFDT est tributaire de ressources externes,
- Pour garantir son indépendance financière et lui donner les moyens de son autonomie, la CFDT s’appuie sur un syndicalisme d’adhérents.

Solidarité | Être solidaire, c’est faire le choix de l’entraide pour défendre les droits de tous,
- Pour défendre les droits au sein de l’entreprise, mais aussi entre les salariés et les chômeurs, entre les générations, et plus largement entre les peuples.
- Pour lutter contre toute forme d’exclusion, d’inégalité et de discrimination.