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vendredi 18 décembre 2020

Contrat Santé et prévoyance UES : Modification des garanties!

 La CFDT vous informe des négociations en cours et des nouveautés, en vous abonnant simplement à la liste Essentiel pour cela un seul mail à essentiel-soprasteria+subscribe@googlegroups.com ! Transmettez autour de vous !

ATTENTION CHANGEMENT !!! Après ses premières réponses en décembre dans un sens, la direction change de réponses ! Et malgré nos mails de questions 5 fois depuis le 14 décembre 2020, et nos questions en CSE non traitées, nous avons seulement en mai 2021 obtenu un retour (oral) !

Même si le bilan de début 2020 sur nos frais de santé est - par rapport à 2019 - « mieux », notre contrat est toujours en déficit, et ne cesse de se creuser. Depuis 5 ans, nous avons mangé nos réserves constituées auparavant, et nos deux contrats prévoyance et santé atteignent en cumulé 6,5M€.  

Des évolutions de garanties santé ont été décidées unilatéralement par la direction. Celle-ci refuse toujours une gestion paritaire de ces contrats alors que les cotisations sont partagées entre la direction et les salariés. Ces derniers devraient donc avoir un droit de regard et la possibilité de faire des choix.

Légalement, le changement de garantie ne peut être imposé qu’après avoir prévenu les salariés dans un délai raisonnable ! où est l’information ?



À savoir, plus de 50% de nos dépenses sont sur Optique et Dentaire.

Au 1er janvier 2021, la direction nous annonce plusieurs évolutions :

1)   Baisse de remboursement de la Monture en Optique

Une baisse de facturation a été constatée, car les opticiens auraient baissé les prix suite à la limite de 100€ des remboursements montures dans les contrats responsables. Notre sur-complémentaire permettait d’ajouter 150€ à ces 100€, cela va être réduit à 50€, soit un total de 150€ de plafond pour les montures de tous (avant : 250€ adultes 185€ enfants).

2)   Baisse de remboursement des Verres simples en Optique

Uniquement pour les verres uni-focaux faible correction (moins de 2 dioptries) : Passage à 120€ de plafond contre 154,26€ auparavant. (Environ 9042 actes en 2019).

3)   Obligation d’utiliser le réseau CARTE BLANCHE pour l’Optique

Pour avoir un remboursement de sur-complémentaire sur l’optique, il faudra passer par un opticien du réseau Carte Blanche (¾ des opticiens aurait carte blanche, présence sur toute la France, avec des tarifs négociés de remise). Donc moins cher pour notre complémentaire. Demandez donc bien la carte blanche ! Et si vous n’avez pas le tiers payant, c’est que ce n’est pas carte blanche !

4) En avril 2021 : Conjoints : dé-noémisation des conjoints :

Aujourd’hui 90% des conjoints sont sur notre complémentaire en 1er rang (contre 40% dans autres entreprises comparables), ce qui n’est pas logique, car certains conjoints doivent avoir une autre complémentaire. Il s’agit de couper la transmission automatique de la sécu à notre complémentaire santé pour les conjoints. Une communication sera faite aux salariés en février/mars pour demander des justificatifs : Seuls ceux qui n’ont pas d’autres complémentaires santé et qui n’en ont aucune proposée par leur employeur (sic !) pourront rester noémisés, donc avec la transmission automatique.

L’entreprise va demander un justificatif pour accepter de noémiser ou attribuer le tiers-payant au conjoint. Un mail sera envoyé à chacun en février/mars, pour répondre et envoyer les justificatifs des conjoints.

Pas de perte de droits à remboursement : les conjoints peuvent toujours se faire rembourser sur la complémentaire SSG, seulement, il faudra qu’ils fassent la manipulation eux-mêmes d’envoyer leur facture à la complémentaire santé SSG.  Le but est de faire d’abord jouer les complémentaires santé des conjoints qui en ont (obligatoire pour les salariés du privé) AVANT, puis s’il reste à charge quelque chose, le conjoint peut toujours se tourner vers la complémentaire SSG pour compléter selon notre couverture. Nouveauté par rapport à une opération similaire dans le passé : les conjoints sans complémentaire à cause du fait qu’ils aient refusés la complémentaire de leur employeur sont concernés et ne pourront pas être noémisé ni avoir notre tiers-payant.

Ce n’est finalement pas le cas !!!

PERTE DE DROITS POUR LES CONJOINTS DES SALARIÉS ! Les conjoints salariés du privé perdent le droit d’être assuré par notre complémentaire en 1er rang !!! 

La direction a joué sur l'ambiguïté pour ne pas annoncer les choses et faire croire que c'était la même opération que par le passé. Il n'en est rien. Certains ménages vont devoir désormais payer 2 complémentaires santé alors qu'ils ne payaient qu'une jusqu'alors! 

Et tout cela, sans délai et sans prévenir les salariés concernés qui se retrouvent à batailler en avril et mai pour se faire assurer au risque d'avoir des périodes non couvertes !

(Pour en savoir plus voir notre article)

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Tout cela pour éviter une augmentation des cotisations de santé.

La CFDT a fait part de nombreuses remarques notamment sur le fait qu’aucune communication n’ait été faite aux salariés (comme nous l’avions déjà demandé de nombreuses fois et encore depuis octobre 2019) sur la dérive des frais santé et le réseau carte blanche !
Il est un peu facile d’envisager dès lors des modifications alors que les salariés sont maintenus dans le noir depuis des années !

 La prévoyance a vu sa cotisation augmentée (pour l’entreprise uniquement) au 1er avril 2020 (de 1% à 1 ,31% sur la tranche A des salaires).

 La CFDT a rappelé à la direction qu’elle se devait d’atteindre d’abord les 1,5% légaux de taux de cotisation sur la tranche A à sa charge pour la prévoyance, avant toute augmentation d’une quelconque cotisation salariale.

De plus, et pour rappel, la CFDT a toujours demandé à ce que s’il y avait augmentation de cotisation nécessaire, il faudrait déjà commencer par faire payer sur la tranche C des salaires pour faire payer en fonction de ses capacités chaque salarié !

Car aujourd’hui la cotisation n’est pas proportionnelle au salaire. Nous payons tous une cotisation santé sur la tranche A de notre salaire (partie de salaire sous le PMSS soit 3428€ en 2020), les plus chanceux paient aussi une part sur la tranche B de leur salaire (sur la part de salaire entre 3428€ et 10284€), mais les ultra-chanceux qui personne ne paie de cotisation sur la tranche C de leur salaire (part du salaire > 10284€).

Ex : Un salarié payé 50 000€ par mois paie donc la même chose qu’un salarié à 11 000€. Et les salariés ne paient pas proportionnellement à leurs moyens, les salariés sous 3428€ payant proportionnellement plus que ceux à 50 000€ !

Pour rappel :




jeudi 17 décembre 2020

SBS : QUE VONT-ILS DEVENIR? : TRANSFO R&D : Le projet est exposé, tout du moins ses grandes lignes

À la recherche du « H » perdu ? 

Le 18 novembre dernier, la direction vous a présenté son projet de transformation de la R&D Sopra Banking Software, à l’occasion d’un webinar « R&D connect ».

Vous avez été nombreux à nous partager la surprise, l’émotion et surtout le choc que vous avez ressentis à la réception du message diffusé au travers du monologue de 30 minutes. Les élus du CSE ont été logés à « la presque même enseigne » : ils n’ont eu cette présentation que 3 semaines avant vous, à l’occasion du CSE ordinaire d’octobre, et l’ont reçue tout aussi soudainement, sans signes avant-coureurs.

Cette présentation était introduite par une autre information : une mise à jour de la stratégie 2020 Sopra Banking Software pour exposer la modification de la posture d’Editeur-Intégrateur de la société pour aller vers un modèle d’Editeur-Intégrateur-Opérateur.

Vos élus CFDT ont depuis pris du recul sur ces présentations et ont travaillé sur les notes descriptives communiquées par la direction. Ils ont formulé un peu plus de 80 questions et remarques en vue de la réunion ordinaire du CSE de novembre. Ils souhaitaient ainsi récupérer toutes les informations leur permettant de déchiffrer en détail les problématiques et enjeux identifiés par la direction et les réponses qu’elle donne à chacune d’elles au travers de ce projet.

La direction a répondu aux questions et remarques de vos élus CFDT à l’occasion du CSE ordinaire de novembre.

Vos élus CFDT vont à présent remonter les problématiques qu’ils ont identifiées et suivre au plus près la mise en œuvre de ce projet.

A l’image de cet article, vos élus CFDT vous tiendront informés.

Aujourd’hui, vos élus CFDT, ont identifié les premiers axes suivants, principalement autour du « H » de l’Humain qui semble trop effacé à leurs yeux :

  • L’information aux salariés : vous avez perçu le premier épisode d’information de façon « brutale » 
    • par son format (pas de support visuel, seulement un monologue, un libellé d’invitation qui ne laissait pas présager du contenu de l’information), 
    • par les conséquences que ce projet peut avoir sur la vie privée d’une partie de l’effectif de la R&D Sopra Banking Software actuelle. 
  • Le sentiment que ce projet est principalement piloté par des intérêts économiques qui peuvent se comprendre mais vos élus CFDT rappellent qu’il ne faut pas négliger l’aspect humain. 
  • Le côté “humain” de cette transformation ne semble pas avoir été suffisamment pris en compte, et ce sujet semble n’être traité qu’en dernier dans le processus, à tort en variable d’ajustement. L’aspect humain devrait représenter une force à considérer de façon plus centrale dans ce projet, autour des compétences et expériences. 

Vos élus CFDT se pencheront par la suite sur d’autres axes, au fil des précisions que la direction apportera, comme par exemple :

  • Les accompagnements, plan de formation, évolution de carrières des salariés. 
  • La cohérence des propositions de changement d’affectation relativement à l’histoire des salariés. 
  • Le risque de perte et fuite des compétences et connaissances. 
  • Le maintien dans l’emploi sur les sites et le maintien des sites. 
  • Le respect de l’équilibre vie privée et vie professionnelle (mutations, temps de trajets, déplacements, etc.). 
  • La tenue des engagements pris par la direction. 

Dans les grandes lignes, la direction présente ce projet comme « restant à construire » ; espérons qu’il le soit réellement. Vos élus (CSE, CSSCT et RP) vont demander à être impliqués dans cette construction, et pas uniquement informés.

La projection économique est travaillée, tout comme les transferts de projet, alors que la projection du devenir des salariés l’est beaucoup moins. Ceci jette le trouble sur l’avenir des salariés et n’aide pas à susciter la confiance.

mercredi 16 décembre 2020

Négo Accord Handicap : La CFDT signe un accord historique au niveau groupe !

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L’accord Handicap précédent ne concernait que les sociétés de l’UES (SSS, I2S, SBS et HR),

AXWAY en ayant été exclu à sa sortie de l’UES.

Ce nouvel accord de niveau Groupe va maintenant concerner

tous les salariés en situation de handicap et tous les salariés aidants (avec des ayants droits handic) 

des sociétés SSG, I2S, SBS, HR, BEAMAP, GALITT, CIMPA, 2MoRO et AXWAY.

 

La CFDT, moteur sur le sujet

 

Rappelez-vous, c’est la CFDT qui a relancé sans arrêt ce sujet en NAO avant 2011, et

c’est la CFDT qui a enfin obtenu un accord en 2011 sur SSG (signé par les seules CFDT CGC) !

 

Cette année encore, vos élus CFDT ont porté de nombreuses revendications et ont été proactifs pendant toute la durée de la négociation. 

La CFDT a obtenu de belles avancées, et même si nous sommes conscient des limites de cet accord, nous espérons l’améliorer encore dans 3 ans!

La CFDT a signé l’accord TH, et il sera valide pour l'ensemble du groupe dès 2021 !

 

N'hésitez pas à contacter vos représentants CFDT pour avoir cet accord!

 

Retrouvez tous les détails avec les avantages et inconvénients dans notre comm’ mensuelle CFDT de janvier !

mardi 15 décembre 2020

L'Essentiel de la réunion CSE SSG de fin novembre 2020 : Congés Payés, Bilan Social 2019, Apetiz, CoorpAcademy, Nouveau Management, réorganisation...

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Retrouvez aujourd’hui le CR sans langue de bois de vos élus CFDT au CSE SSG de la réunion des 26 et 27 novembre et du 4 décembre après-midi.

Au menu :

-          Des réunions au déroulement compliqué avec des points non mis à l’ordre du jour malgré les demandes ;

-          La situation sanitaire et suite à la cyberattaque

-          La réorganisation de Conseil et Intégration sur 2021 et l’avis de vos élus

-          La politique sociale : bilan de 2019 et avis des élus du CSE très négatif !

-          Bilan du nouveau modèle du management

-          CoorpAcademy

-          Carte Apetiz

-          Politique des congés 2021 : ça suffit !

-         

Bonne lecture !


Entrée du CSE : Ordre du jour et tenue de la réunion…

Déclaration CFDT sur l’ordre du jour et le déroulement des CSE du 26 novembre :

« La CFDT invite la direction, ainsi que le secrétaire du CSE, à relire les déclarations qui ont été faites les 16 avril, 14 mai, 26 juin et en octobre 2020 concernant l’ordre du jour.

Si le fait de recenser sous chacun des thèmes toutes les questions transmises par les élus vous parait fastidieux, les élus et le Représentant Syndical CFDT demandent que l’ensemble des points soumis par ceux-ci soient, a minima, annexé à chaque Ordre du jour et que leurs réponses soient annexées au PV du CSE.

Les élus et le Représentant Syndical CFDT dénoncent le contrôle et les limites apportés à l’instance du CSE, par l’esprit même de cette thématisation et déplorent un manque évident de transparence.

Aucun point n’étant repris dans son intitulé, l’ordre du jour ne reflète pas les problèmes parfois graves qu’ils recouvrent.

De plus, dans l’ordre du jour de cette séance, les points 4.5 et 4.10 sont mal placés et auraient dû être dans le point Ressources Humaines ou plutôt dans un point nommé de manière appropriée « Droits des salariés ». Pour rappel, les problèmes d’acquisition de point retraite concernent les salariés SSG et non le fonctionnement du CSE. Il en est de même pour les RTT des M2. Ces points anciens et déjà demandés se retrouvent au bout de l’ordre du jour du CSE, n’augurant pas de leur traitement rapide.

 Les élus et le représentant syndical CFDT s’étonnent également qu’un ordre du jour avec autant de points d’importance et de consultation puisse être prévu sur 2 jours. En prenant en compte le temps pourtant très restreint des intervenants divers, il reste au CSE la plage de 9h à 11h le jeudi matin et de 9h à 10h le vendredi matin, soit 3 heures, pour traiter tous les points sans invités ou finir de traiter les points après le passage des invités. Ceci est irréaliste pour un traitement complet et apaisé de ces points.

 

Enfin, Les élus et le représentant syndical CFDT demandent la mise en place d’une nouvelle organisation durant la période de réunion à distance, avec un jour de CSE par semaine, jusqu’à épuisement des points. Cela permettrait une meilleure organisation et une moindre fatigue pour la santé de tous.

 Ensuite, une fois les réunions physiques reprises, les élus et le représentant syndical CFDT redemandent que soit prévu comme par le passé, une date de prolongation éventuelle dans les convocations de chaque CSE et dans le calendrier annuel des CSE afin de permettre à chacun de bloquer ces dates et d’organiser les déplacements. »

 

Déclaration CFDT en entrée de la prolongation du 4 décembre sur le déroulement après 2 jours de CSE :

« Des CSE de mal en pis

Les points sont bousculés, les élus pressés, la direction saute d’un point à un autre sans laisser aux élus le temps de s’exprimer.  Même le déroulement du CSE ne respecte pas l’accord signé sur le temps de travail en ne permettant pas aux élus une pause d’une heure pour déjeuner.

Les points sont clos sans que les élus puissent s’exprimer. La présidente ne cesse de dire que nous sommes pressés, qu’il n’y aura plus d’intervention après celles déjà inscrites, qu’il faut finir à telle heure ce point, etc.

Au matin du dernier CSE, le point 3.5 n’a pas été terminé, pour passer vite au premier invité du point 3.2. Puis le 3.2 a dû être interrompu avec dans l’objectif de revenir dessus à 17h et ce pour laisser la place à l’invité du point 3.3, etc.

La direction refuse de programmer 3 jours pour les CSE comme c’était le cas lors de la mandature précédente. Les intervenants ont plus de temps que les élus pour s’exprimer.

C’est bien la direction qui a choisi de faire un seul CSE national avec 35 élus titulaires.

Cela prend évidemment du temps, mais il faut laisser à chacun l’occasion de s’exprimer, c’est bien le seul droit que les élus aient vraiment.

Nous attendons une réponse à nos demandes d’adaptation de l’organisation du CSE, proposée jeudi 26 novembre.

Les CSE sont toxiques et nuisibles, la gestion qui en est faite par la direction amène à des situations à risques. La cadence est inadaptée au besoin d’une telle entreprise. Les risques d’une telle gestion sont à la fois humains, autant pour les équipes de la direction que pour les élus.

Faut-il attendre que l’irréparable arrive pour que la direction comprenne qu’elle fait fausse route avec cette gestion ?

Le H de DRH et le S de CSE ne semble pourtant pas si éloigné… »

Point 2 : « Partage d’information sur l’évolution de l’entreprise » (sic)

2.2 : Situation sanitaire

Le ciel s’éclaircit, le nombre de salariés atteints par la Covid dans l’entreprise suit la tendance baissière au niveau national depuis le 2ème confinement. Le groupe n’enregistre plus de cas grave.

À l’heure actuelle, la direction ne s’avance guère sur les modalités du 2ème déconfinement, elle souhaite s’en tenir aux futures annonces gouvernementales.

Sur les salariés travaillant sur site SSG ou site client, vos élus CFDT demande des explications sur les contraintes imposant cette présence. Notamment pour les projets qui n’ont pas eu cette contrainte au 1er confinement, pourquoi ce changement ? Pas de réponse. Nous demandons la matérialisation du volontariat des salariés afin de pouvoir s’en assurer.

Vos élus CFDT rappellent également les règles en terme de RGPD et données personnelles. En effet, la direction s’est mise à suivre les badgeages des salariés sur les sites, sans les en informer clairement sur les données conservées et tracées. Quels badgeages sont tracées ? Uniquement l’entrée du bâtiment ou chaque lecteur de badge ?  Sachant que parfois il faut badger pour revenir des toilettes, on se demande si cela est vraiment proportionné et même utile quand on entre à plusieurs avec un badgeage ! Le DG annonce qu’une information sera faite aux salariés sur le suivi des badgeages. À suivre…

2.3 : Cyberattaque

La direction nous indique que la situation reviendra à une situation quasiment normale à partir de début décembre. 34000 postes ont été testés « sains », et resteraient 3000 KO à vérifier.

En terme financier, sur 300 millions de chiffre d’affaire mensuel habituel, la perte serait, suite à cette cyberattaque de 50 millions, avec une prise en charge à hauteur des 2/3 par les assurances.

L’impact le plus important est sur la France.

Ce qui ressort de cet échange entre les élus et la direction :

-          Plus aucune entreprise n’est à l’abri et le risque de cyberattaque risque d’être amplifié dans les années prochaines.

-          Le risque a été minimisé en terme assurantiel.

Souhaitons que SSG saura tirer toutes les leçons de cette crise, et mettra un plan de cybersécurité digne d’une des plus grandes ESN française.

2.4 : Consultation sur le projet d’organisation 2021 de Conseil et Intégration

Évolution d’Aeroline sur Toulouse, verticalisation de la région sud-ouest fusion des verticaux Automotive et Retail, Mouvements dans le Conseil.

- Sur Aeroline Toulouse, 300 salariés sont changés de BU et parfois de métier ! Ils partent vers Santé Social(60), SecteurPublic(20), Banque(10), TME(49), APS(17), Energy&Utilities(32), ou le centre de service SAP&EAM(42). Et 70 consultants seraient regroupés dans un pôle conseil RH sur Toulouse.

- Sur Sud Ouest : création d’une agence Intégration SSE Bordeaux ; transfert de l’agence Intégration de Pau dans celle Energie Bordeaux/Toulouse/Pau ; création d’une agence Intégration Retail Bordeaux ; création d’une agence Aéroline Bordeaux.

Avis proposé par vos élus CFDT au CSE et adopté à l’unanimité par les élus du CSE :

« Encore une fois, le CSE constate le refus de dialogue social, illustré par l’annonce non concertée d’une nouvelle réorganisation en septembre 2020.

Dans le document fourni, aucun suivi de cette réorganisation n’est prévu, aucun lien n’est fait avec les différents plans en cours sur le bassin toulousain (transfert d’activité, reskilling, formation …). Une fois de plus le CSE n’est consulté que quand le projet est lancé, en cours, voire même fini pour certains déjà ‘reskillés’ et changés de projet et BU.

Le CSE regrette le manque de transparence de cette réorganisation auprès de l’ensemble des salariés concernés et la non prise en compte des risques sur la santé des salariés de leur situation a minima très inconfortable.

Pourquoi n’y a-t-il une communication à tous, un « Event » à distance via teams sur le sujet AVANT sa mise en œuvre réunissant les salariés concernés et les élus CSE ? Que les salariés puissent s’exprimer et poser leurs questions anonymement et puissent collectivement avoir la même information.

Pourquoi n’y a-t-il pas de bourse à l’emploi pour eux, qu’ils puissent a minima choisir vers quel métier et quel secteur ils seront repositionnés ?

Pourquoi n’y a-t-il pas eu de mutation géographique, cela a-t-il été seulement proposé aux salariés ?

Pourquoi n’y’a-t-il pas eu rappel auprès de ces salariés de l’existence des élus du CSE et représentants du personnel pour échanger individuellement sur leur situation et les rassurer par leur suivi ?

Au lieu de cela, le management décide pour eux, va voir un par un les salariés, qui loin d’être des « collaborateurs », n’ont pas d’options ni de choix alternatif que la voie décidée pour eux.

Le CSE demande a minima que soit prévu le suivi mensuel de chaque salarié concerné (300 salariés) afin d’éviter que cette décision ne se transforme en un PSE déguisé.

Le CSE craint que nombre de ces salariés n’aient déjà quitté l’entreprise, ou soient en cours de départ.

Le CSE conditionne le rendu de son avis à la prise en compte de sa demande d’un suivi mensuel pour ses salariés :

               BU d’affectation et transfert

               Lieu d’affectation et transfert

               Formation

               Déplacement

               Demande de licenciement

               Demande de RC

               Suivi de la sous-traitance et sa justification. »

2.5 : Info éco France

Le DG France nous annonce la nomination d’un adjoint à ses côtés.

Vos élus CFDT remarque qu’il s’agit encore d’un homme et que SSG n’améliore pas son bilan en la matière : aucune femme au Comex, et aucune à la tête d’une BU opérationnelle en 2019. Nous espérons que les nouveautés 2021 apporterons de bonnes nouvelles sur ce sujet.

Nous réclamons au DG France également plus de transparence vers tous les salariés des secteurs en difficultés, avec des bourses aux emplois et pourquoi pas des Events teams ! Ceci afin que ceux en interchantier et qu’on veut repositionner puissent choisir en toute connaissance de cause avec TOUTES les options devant eux, alors qu’actuellement, ce sont les manageurs qui choisissent pour eux en leur « proposant » en tête à tête un ou deux « choix ».

2.6 : Effectifs

Fait rare, les effectifs seront en baisse de quelques centaines entre 2019 et 2020, bien que les départs soient moins importants, les recrutements l’ont été tout autant, plus précisément moitié moins qu’en 2019.

Les processus de recrutement devrait revenir à la normale à partir de 2021.

2.7 : Politique sociale 2019 : toujours aussi négative.

Le CSE a désigné un expert, la direction ne répond pas à son rapport alors qu’elle l’a reçu en même temps que vos élus…ce qui laisse présager de ce qu’elle compte prendre en compte : Rien.

La Commission politique sociale du CSE étant constituée à 80% de TU qui n’ont voulu laissé qu’une seule place aux élus CFDT, et qui refusent les remplacements en cas de longue maladie, les travaux en commun ont été impossibles. Quant à l’avis de la commission, aucun changement n’était possible… Vos élus CFDT ont reçu les 240 pages du rapport 3 jours avant la réunion du CSE, ce qui ne les a pas empêchées de les étudier.

 Justification de vote CONTRE de vos élus CFDT :

« Pour nous, élus CFDT, cette proposition de rédaction de vote ne contient pas d’avis tel qu’il nous est demandé.

Il est regrettable que l’avis du CSE n’ait pas pu être construit pendant le CSE dans les échanges entre élus, hors de la présence de la direction.

Nous regrettons aussi l’organisation articulée autour de cette expertise, avec une présentation de l’expertise la veille après-midi du CSE, alors que cela aurait pu être un élément de véritable échange et travail constructif pour le dialogue social.

Nous ne pouvons être d’accord avec la proposition choquante faite dans l’avis proposé de diminuer toutes les parts variables proportionnellement si les parts variables ne devaient pas être toutes distribuées. Ceci serait contraire aux particularités des contrats et parts variables ne dépendant que de seuls critères de performance individuelle, et surtout, cela pénaliserait grandement les assistantes recevant une part variable sur les recouvrements.

Nous invitons la direction à relire l’avis sur la politique sociale de l’an passé, et à nous apporter enfin les réponses attendues sur les sujets suivants :

-          La mobilité

-          La discrimination des salariés à temps partiel (rémunération, formation, promotion)

-          La discrimination des salariés liée à l’âge (rémunération, formation, promotion)

-          La stagnation des salariés expérimentés

-          La répartition des augmentations favorisant les déjà hauts-salaires

-          La formation déséquilibrée entre les salariés

-          Les heures supplémentaires irréalistes et sous-déclarées

-          etc…

Sur les documents DUER, Plan de prévention PAPR et bilan annuel, l’expert confirme cette année ce que nous répétions depuis des années en instance CHSCT : ces documents sont inexploitables en l’état, et ne reflètent pas les conditions de travail réelles des salariés. Ce constat est aggravé avec le regroupement de tous les documents régionaux en un seul national. 

Les élus CFDT donnent un avis négatif sur la politique sociale et les conditions de travail et d’emploi. Cette politique sociale n’en est pas une, en dehors d’un affichage marketing destiné à attirer les « nouveaux talents ».

Les élus CFDT s’inquiètent des effets néfastes de cette politique sur le bien-être des salariés.

Nous renouvelons le vœu que la politique sociale soit la priorité de nos dirigeants, considérée comme un élément de stabilité et de développement des salariés.

Les salariés ont besoin de véritables progrès et d’actions concrètes sans discrimination afin de retrouver le sens de leur engagement au sein de l’entreprise. 

 

La Politique sociale de l’entreprise est à l’image du dialogue social :
pour obtenir la moindre avancée,
il faut y revenir sans cesse, comme vos élus CFDT l’ont fait avec d’autres et avec succès sur : les salariés non augmentés depuis x années, la discrimination à la promotion des femmes, les travailleurs handicapés, le temps de travail, le télétravail, etc…

La CFDT Sopra Steria continuera ce travail. »

Point 3 : Ressources humaines

3.1 : Bilan nouveau modèle management : et la loi ?

Le bilan du nouveau modèle de management présenté par la direction :

98 % des collaborateurs ont un manager opérationnel qui les accompagne au quotidien.

74 % des collaborateurs ont choisi leur mentor.

73% des collaborateurs avec des objectifs de mission sur 1 année glissante.

58% des collaborateurs avec une évaluation sur mission sur 1 année glissante.                                                 
43% des collaborateurs avec un entretien d’évolution de moins de 2 ans glissants.

Pour rappel, l’entretien professionnel, qui a lieu au minimum tous les deux ans, est un entretien au cours duquel le salarié et son employeur échangent, dans le but de recenser et d'analyser les besoins en formation du salarié, et selon la direction de le rendre "acteur de son évolution professionnelle". Cet entretien n'a pas pour objet d'évaluer la performance du salarié, ni d'évoquer l'atteinte ou non de ses objectifs. L’entretien professionnel doit donner lieu à la rédaction d'un document dont une copie doit être remise au salarié.

Il doit aussi y être parler de VAE, de CPF, et comme pour la remise d’une copie du document, les mentors ne le savent pas, donc ce n’est pas fait !

Tous les six ans, l'entretien professionnel doit faire un état des lieux récapitulatif du parcours professionnel du salarié. :

Cet état des lieux permet de vérifier que le salarié a bénéficié au cours des six dernières années des entretiens professionnels et d'apprécier s'il a :

1° Suivi au moins une action de formation ;

2° Acquis des éléments de certification par la formation ou par une validation des acquis de son expérience ;

3° Bénéficié d'une progression salariale ou professionnelle.

Si vous n’avez pas bénéficier de 2 des 3 actions, l’employeur sera dans l’obligation d’abonder votre CPF de 3000 euros.

3.2 : Présentation de CoorpAcademy : Formez-vous sur votre temps perso !

Déclaration CFDT, à laquelle ce sont associés Solidaires et CGT, et votée en motion à une grande majorité par les élus du CSE (27 sur 35) :

« Une nouvelle fois les élus du CSE sont mis devant le fait accompli et découvrent la mise en place d’un nouvel outil de formation accessible à tous les salariés. La direction n’a ni informé ni consulté le CSE avant sa décision, lors du stade de projet, comme l’exige la loi, et ce sont les élus qui ont dû demander l’inscription de ce point à l’ordre du jour. 
Nous attendons toujours la réponse de la direction sur cette entrave.

Les élus CFDT dénoncent le fait que la direction pousse les salariés à utiliser cet outil hors du temps de travail.

En effet, la présentation ne prévoit aucune modalité claire d’imputation et de validation des formations sur le temps de travail et invite pourtant les salariés à se lancer !

Le découpage en « micro modules » de 5 minutes ou plus, accessibles depuis un téléphone portable, tout comme les messages lancés lors des présentations de l’outil, incitent fortement les salariés à l’utiliser sur leur temps personnel ou de pause, au mépris de leur santé.

Le salarié n’est pas prévenu du traçage de son activité sur CoorpAcademy, et encore moins de son impact sur son évaluation professionnelle.

De plus, l’effet « gaming », avec l’attribution d’« étoiles », mélange les genres et floute les frontières entre vie privée et vie professionnelle.

Enfin, l’esprit de compétition individuel encouragé par cet outil ne favorise pas l’esprit d’équipe, valeur première du groupe, qui est particulièrement mis à mal en cette période.

Les élus CFDT regrettent que les formations proposées ne soient pas certifiantes pour les salariés.

Nous demandons à la direction de rectifier le tir en prévoyant, pour ces formations, sur le planning de chaque projet, du temps dédié sur le temps de travail, et déclaré comme tel.

Les élus CFDT demandent que cet outil, ainsi que l’outil Pluralsight, ne soit disponible que pendant les heures de travail afin d’éviter tout impact négatif sur la santé des salariés. »

3.3 : Carte Apetiz : 1er bilan, choix Carte ou Ticket Resto

Il reste 4,6M€ non dépensé sur les cartes Apetiz des salariés, ce qui, en moyenne, donne 270 euros non dépensés sur chaque carte. Vos élus trouvent ce montant important alors que la carte vient d’être mise en place.

Beaucoup de paiements refusés, pour des raisons diverses, plafond quotidien dépassé, dimanche ou jour férié, solde insuffisant ou commerces non affiliés.

Comme vous avez pu le voir, un formulaire pour choisir entre le retour au ticket restaurant et la conservation de la carte Apetiz vous a été adressé, il était prévu par la direction entre le 30 novembre et le 5 décembre 2020.

Les élus CFDT trouvant cette période de choix trop courte ont fait voter la demande suivante : « Le CSE demande l'augmentation du délai laissé pour le choix des salariés à au moins un mois. ».

Malgré les TU qui se sont prononcés CONTRE cette demande -sans explication- (sic ?!), le CSE a voté majoritairement favorablement (18 pour sur 35) à cette demande.

Vous constaterez que celle-ci a été suivi d’effet : la direction a donné jusqu’au 4 janvier pour choisir ! Attention, par défaut vous garderez votre carte Apetiz si vous n’avez pas eu le temps de choisir, et il faudra attendre toute l’année 2021 pour modifier votre choix.

Autre information importante, si vous avez optés pour le retour au ticket restaurant papier, vous gardez votre carte (valable 4 ans) et le solde sera disponible jusqu’à son épuisement.

 Reste le sujet de la durée de validité du solde 2020 sur les carte APETIZ : il est de toute façon utilisable jusque fin février 2021. Un report est possible sur demande via l’appli nous dit l’intervenante APETIZ. Avant de nous annoncer que ce report va être rendu automatique à l’avenir ! Cependant, le gouvernement a parlé d’en prolonger la validité et même d’augmenter le plafond pour les restaurants, dès la parution du décret précisant cela, la CFDT SSG vous informera !

3.4 : Travail du dimanche

En lien avec le point 3.3, la direction ne souhaite pas paramétrer la carte Apetiz, comme cela est possible, pour son utilisation le dimanche. Argument avancé : cette gestion est trop complexe car les travailleurs du dimanche ne sont pas les mêmes d’un dimanche à l’autre, vous en conviendrez ça dépend…

La CFDT a sollicité à nouveau la direction pour que tous les salariés en forfait jour aient la compensation financière (comme les autres salariés) lorsque leur travail du dimanche est annulé moins de 3 jours avant la date de sa réalisation. Compte tenu la crise sanitaire et l’attaque cyber, la direction ne l’a pas traité mais s’engage à mettre cette demande CFDT sur le haut de la pile. À suivre donc…

3.5 : Consultation du CSE sur la politique de congés payés 2021

Sur la note annuelle des Congés pour 2021, vos élus CFDT proposent l’avis suivant, adoptée à la majorité (moins 2 voix TU et CGC) :

« La note n’est pas appliquée dans les faits comme une « recommandation » malgré son titre.

Les manageurs obligeant les salariés à suivre strictement ce qui n’est que recommandation,
les élus renouvellent pour une année encore leur avis négatif.

La note contient toujours plusieurs dispositions inacceptables :

-          La rédaction de cette note permet à tout manageur une libre interprétation et une application plus ou moins souple, à la tête du client.

-          Les congés payés n’ont pas été créés pour réguler l’activité de l’entreprise mais pour permettre aux salariés de se reposer et d’avoir une vie privée. Il est illégal que la note indique que les congés servent aux régulations d’interchantier ou fermeture de client.

-          De plus, il est illégal qu'il y ait une inégalité entre les salariés quant à la possibilité de poser des jours de congé pour pont. En effet les salariés en prestation chez un client dont le site ferme pour un jour de pont, pourront se voir imposer un jour de congé contrairement aux autres salariés.

-          Il est également inacceptable que les salariés en structure se voient recommander dans la note - voire imposer dans les faits, plus de 20 jours de congés par été, contrairement aux obligations de la convention collective dont nous dépendons.

Cette année encore, les élus ont remonté des cas inacceptables et illégaux :

-          Manageur posant des RTT salarié à un salarié

-          Manageur imposant des congés payés aux salariés

-          Manageur imposant des RTT hiérarchique sans respecter le délai de 7 jours ouvrés

-          etc…

Ainsi certains manageurs ont donné des ordres qui ne répondent pas aux règles SSG et font pression sur les salariés. Notamment, la souplesse voulue pour les parents devant prendre les vacances scolaires n’est pas effective partout.  Nos remontées n’ont entrainé aucun recadrage ou en tout cas aucune correction auprès des salariés.

Les élus dénoncent l’absence de confirmation de pose de congés, et l’absence d’acceptation automatique des congés après 7 jours.

Les élus tiennent à rappeler aux salariés que la loi impose l’octroi d’une à deux journées de congé supplémentaires de fractionnement dans les cas suivants :

-           si un salarié peut prendre une semaine entre le 01 novembre et le 30 avril sur les 4 semaines de congé principal (20j : 5ème semaine exclue) il a droit à 2 jrs supplémentaires

-          si un salarié peut prendre 3 à 5 jrs ouvrables entre le 01 novembre et le 30 avril sur les 4 semaines de congé principal (20j : 5ème semaine exclue), il a droit à 1 jour supplémentaire.

La direction ne le rappelle évidemment pas dans sa note.

Les élus signalent également qu’un rappel au cours des congés donne droit à 2 jours de CP supplémentaires qui viennent s’ajouter à la récupération des jours annulés et au remboursement des frais afférents (article 24 de la convention collective des bureaux d’études).

Les élus dénoncent le fait que la direction refuse de faire toute action pour faire enfin respecter la loi et les procédures internes.

Les élus rappellent que si la direction veut imposer les congés payés des salariés, elle doit se conformer à la loi et à la convention collective qui encadrent ceci (article 26). Notamment, celle-ci impose de consulter les salariés, et un délai de 2 mois de prévenance»

Point 4 : Fonctionnement du CSEE

4.4 : Commissions, Groupes de travail, CA,…

·         Pour la deuxième année, une salariée SSG en appelle à l’aide du CSE, son salaire ne lui suffisant apparemment pas pour vivre avec son enfant. Vos élus CFDT en appellent à la direction, est-ce qu’elle n’a pas été oubliée des augmentations ou promotions des dernières années ? N’y a-t-il pas discrimination due à son état de santé ?...
La direction fait la sourde oreille… et le CSE décide par consensus de l’aider cette année encore.

·         Les Représentants de Proximité sont prévus pour être les relais locaux des élus CSE et les seconder sur place. Malheureusement, la commission SSCTT du CSE qui s’est posé en relai de ces RP est opaque et ne partage pas les informations. Nous attendons toujours d’avoir accès aux rapports fait par les RP en local… ce n’est pas comme cela que les problèmes bloqués en local vont être traités. Dommage.

4.5 et le reste…

Pas le temps !! Le 4 décembre a été limité à l’après-midi, et malgré un arrêt à plus de 18h30, cela ne permet pas de finir les points restants. Dommage, car certains points étaient mal placés, comme nous le soulignions dans notre déclaration d’entrée de CSE (voir en tête du document). Pourtant le non-versement des point retraite complémentaire aux salariés est d’importance, tout comme les RTT des ex-steria M2…

La direction finit par annoncer que les points restants seront en entrée de la prochaine réunion mi-décembre. Nous répétons que l’organisation des CSE est à revoir, à suivre…