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vendredi 30 août 2019

Playlist#5 de la CFD'été !


Voici la 5ème édition de notre Playlist de la CFD’été !
Nous espérons que nos sélections vous ont permis de ré-écouter ou découvrir de nouvelles musiques.
Bravo à Adrien, Bernard et André pour leur suggestion retenue !
 Bonne rentrée à tous et toutes et suivez-nous sur nos réseaux sociaux :
- Yammer : sur le groupe « CFDT des sociétés Sopra Steria »






CHALEUR ET TRAVAIL : QUELS SONT VOS DROITS ?

Y a t-il une température au-delà de laquelle un salarié ne peut plus travailler ? L’employeur a t-il l’obligation d’installer la climatisation sur le lieu de travail ? Autant de questions qui se posent lorsqu’arrivent les grosses chaleurs d’été, voire la canicule. Si la loi ne fixe pas de température maximale, elle prévoit néanmoins de nombreux aménagements et mesures afin de concilier au mieux chaleur et travail.



En cette période de fortes chaleurs, nombreuses sont les questions qui se posent quant aux obligations de l'employeur et aux droits des salariés. Qu'en est-il ?
  • La loi ne prévoit pas de température maximale
Qu’il s’agisse d’une circonstance extérieure (chaleur, canicule, etc) ou liée à l’environnement de travail (certaines machines dégagent de fortes chaleurs), la loi ne prévoit pas spécifiquement de température au-dessus de laquelle un salarié peut quitter son poste de travail.
D'une façon plus générale en revanche, il existe un droit de retrait pour les salariés lorsqu’ils estiment qu’un danger grave et imminent menace leur vie ou leur santé, comme nous allons le voir.
  • Quelles sont les obligations de l’employeur ?
L’employeur a tout d’abord une obligation générale en matière de santé et de sécurité lui imposant de prendre toutes les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale des travailleurs (mesures de prévention, information et mise en place d’une organisation et de moyens adaptés (1)). Mais l'employeur est également tenu d’adapter ces mesures en cas de changement de circonstances, telles que l’apparition de fortes chaleurs par exemple.
Ensuite, le Code du travail consacre plusieurs articles précisant les obligations de l’employeur en la matière. Ce dernier doit notamment :
- mettre à la disposition des travailleurs de l’eau potable et fraîche pour la boisson : l’employeur détermine l’emplacement des postes de distribution des boissons à proximité des postes de travail et dans un endroit remplissant toutes les conditions d’hygiène et de conservation. Lorsque des conditions particulières de travail amènent les salariés à se désaltérer fréquemment, l’employeur doit leur mettre à disposition au moins une boisson non alcoolisée (2) ;
- dans les locaux fermés, l’employeur doit veiller à ce que l’air soit renouvelé et ventilé afin d’éviter les élévations exagérées de température (3).
ATTENTION : LA LOI N’OBLIGE PAS L’EMPLOYEUR À INSTALLER UN DISPOSITIF DE CLIMATISATION !
Enfin, d’autres dispositions spécifiques et propres à certains secteurs d’activité sont prévues. C’est par exemple le cas, pour les salariés des entreprises de bâtiment et de travaux publics, pour lesquels l’employeur peut décider, en cas d’intempéries et après avis du comité social et économique, de l’arrêt du travail (4).
Si le Code du travail ne donne pas d’indication précise sur les températures maximales, au-delà desquelles vous pouvez vous arrêter de travailler, l’INRS et la CNAMTS sont venus faire quelques recommandations. 
Ainsi, il est précisé que le travail par forte chaleur, et notamment au-dessus de 33°C, présente des dangers pour la santé des travailleurs. Des mesures préventives simples et efficaces permettent de remédier aux effets de la chaleur :
- travailler de préférence aux heures les moins chaudes, - effectuer une rotation des tâches avec les postes les moins exposés, - augmenter la fréquence des pauses, - limiter le travail physique, - installer des sources d’eau fraîche à proximité des postes de travail,- aménager des aires de repos climatisées ou des zones d’ombre…Par ailleurs, l’employeur est tenu de respecter les recommandations prescrites dans le cadre du plan national canicule.
Attention, vous avez également l’obligation de vous conformer aux directives de votre employeur lorsqu’il s’agit de veiller à votre santé ainsi qu’à celle de vos collègues !
  • Le droit de retrait des salariés
Dans certaines circonstances, vous avez le droit de quitter votre poste de travail. C’est le cas lorsque vous êtes face à une situation qui présente un danger grave et imminent pour votre vie ou votre santé(5). Vous devez alors en alerter immédiatement votre employeur et vous retirer d’une telle situation. 
L’employeur ne pourra alors pas vous demander de reprendre votre activité tant que persiste ce danger.
Attention : le droit de retrait ne doit pas créer pour autrui une nouvelle situation de danger grave et imminent !
Enfin, le représentant du personnel au CSE dispose également d’un droit d’alerte lorsqu’il constate une cause de danger grave et imminent, notamment par l’intermédiaire d’un travailleur (6).


(1) Art L.4121-1 à L. 4121-5 C.trav.(2) Art R.4225-2 à R. 4225-4 C.trav.(3) Art R.4222-1 et s. C.trav.(4) Art L.5424-9 C.trav.(5) Art L.4131-1 et s. C.trav.(6) Art L.4131-2, art. L.4132-1 et s. C.trav.

mardi 27 août 2019

Encore une erreur de la direction : La prime Vacances 2019 dans toutes les sociétés !


Encore une erreur de calcul de la direction sur la prime vacances 2019 !

Après une erreur pour les salariés I2S de 140€, une erreur de 60,57€ pour les salariés SSG ex-steria !
Cela pose question sur la véracité des autres calculs fait par la direction pour la paie…
Comme nous vous y encourageons toujours, pensez à bien vérifier vos paies et vos soldes de tout compte !
Et cela ne fait que confirmer le besoin de passer à un système harmonisé comme demandé par la CFDT de toutes les sociétés du groupe !

La CFDT vous informe des négociations en cours et des nouveautés, en vous abonnant simplement à la liste Essentiel pour cela un seul mail au robot de yahoo,à EssentielSopra-subscribe@yahoogroupes.fr ! Transmettez autour de vous !
Nous avons publié le montant de la Prime Vacances annoncé au CE de SSG la semaine dernière, mais pour compléter, grâce à nos équipes des différentes sociétés :
·        pour la société Sopra Steria : Pour les ex-sopra et les nouveaux embauchés (ou ex-DPC, Ex-ATI, Ex-IOS, ex-CIBF) depuis 2015 : 231,89€ par part (une part pour le salarié et une part pour chaque enfant de moins de 20 ans au 31 mai à charge ou pension alimentaire).
·         pour la société Sopra Steria : Pour les salariés ex-steria : 477,54€ 538,11€ par salarié. (suite erreur direction, rectifié sur la paie d’août)
·         pour la société Sopra Steria : Pour les ex-inforsud, 15% de leur salaire du mois de versement (par contrat de travail).
·         Pour les salariés I2S : 330,20€  472,71€ par salarié. (suite erreur direction)
·         Pour la société HR :   par salarié 1% de la rémunération hors primes non liées à l'exercice de l'activité (salaire annuel brut + prime objectif + indemnité congé payé de l'année précédente mais pas la prime vacance de l'année n-1 ni le 13ème mois).
·         Pour la société SBS (dont ex-DPC, ex-ATI, ex-IOS, ex-CIBF) : 281,32€ par part (une part pour le salarié et une part pour chaque enfant de moins de 20 ans au 31 mai à charge ou pension alimentaire).
·         Pour la société SBS : Pour les ex-inforsud, 15% de leur salaire du mois de versement (par contrat de travail).
·         Pour la société Axway : 351,83 € par part (une part pour le salarié et une part pour chaque enfant de moins de 20 ans au 31 mai à charge).
·         Pour Galitt : 10% de leur salaire mensuel versé en juin
·         Pour CIMPA : pas la même convention collective, celle de la métallurgie ne prévoit pas de prime Vacances.
Merci aux représentants de la CFDT
partout dans les sociétés du groupe !
La CFDT demande une harmonisation entre les sociétés depuis 2 ans, avec une enveloppe de transition.


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Afin de nous permettre de continuer à vous informer, conseiller et défendre,
VOTEZ CFDT aux prochaines élections (fin 2019) !
Et si vous vous engagiez à nos côtés ?
Contactez-nous !


lundi 26 août 2019

RÉFORME DE L’ASSURANCE-CHÔMAGE : 1,2 MILLION DE CHÔMEURS IMPACTÉS !

Publié le 09/07/2019

ASSURANCE CHÔMAGE : Une réforme d'injustice sociale, 100% de perdants !


Le gouvernement vient de mettre en place sa réforme de l’assurance chômage. 
Ce sont 3,4 milliards d’euros d’économies qui vont être faits sur le dos des seuls demandeurs d’emploi. 
La réforme va faire 100 % de perdants. 
Derrière la logique budgétaire, aucune trace de justice sociale.










vendredi 23 août 2019

PlayList#4 de la CFD'été + Proposez vos titres pour la #5 !


Ohé vous êtes là ??? La dernière playlist de la CFD’été sera publiée le 30/08, c’est à vous de jouer ! Envoyez-nous un titre que vous souhaitez faire écouter à vos collègues, nous comptons sur vous pour les 15 prochains titres !
  


Pour vous accompagner pendant tout le mois d'août, la CFDT SOPRA STERIA vous propose sa playlist de l'été chaque vendredi tout le mois ! Bon courage à ceux qui travaillent et bonnes vacances aux chanceux !
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Transmettez à tous les salariés du groupe autour de vous : pour avoir les nouvelles et infos de dernière minute, par vos élus CE CFDT, il faut être inscrit sur l'Essentiel, pour cela un seul mail au robot de yahoo, à EssentielSopra-subscribe@yahoogroupes.fr ! 
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Consultez notre site : http://cfdtsoprasteria.blogspot.fr/
Bon courage ou bonnes vacances !

La modératrice.

Retrouvez les précédentes PlayList# de la CFD'été :



jeudi 22 août 2019

Comm' mensuelle CFDT : Playlist CFD'été - Eléctions : Et toi là-dedans?...

(Ouvrez dans une nouvelle fenêtre ou cliquez pour agrandir l'image)


Élections CSE et RP 2019 : et moi, et moi et moi? : LES DÉTAILS !

Pour être au plus près de vos attentes, nous vous proposons de prendre juste 2 minutes pour répondre à notre sondage anonyme et ouvert jusqu’au 30/09/19 : https://www.survio.com/survey/d/C9B9D1X8F4T9T9O2A


Voici nosPlayList# de la CFD'été !







N'hésitez pas à vous abonner à notre ESSENTIEL pour recevoir les infos sur vos sociétés en envoyant un mail vide à EssentielSopra-subscribe@yahoogroupes.fr

mercredi 21 août 2019

Mensuelle de vos élus CFDT SSG ! Sondage, CSE, Playlist,...

(Ouvrez dans un nouvel onglet ou cliquez pour consulter l'image en grand )


Pour être au plus près de vos attentes, nous vous proposons de prendre juste 2 minutes pour répondre à notre sondage anonyme et ouvert jusqu’au 30/09/19 : https://www.survio.com/survey/d/C9B9D1X8F4T9T9O2A


Voici nosPlayList# de la CFD'été !







N'hésitez pas à vous abonner à notre ESSENTIEL pour recevoir les infos sur vos sociétés en envoyant un mail vide à EssentielSopra-subscribe@yahoogroupes.fr

mardi 20 août 2019

PLAYSLIST#3 de la CFD'été !

Après les deux premières, voici la playlist#3 de la CFD'été !

 Pour vous accompagner pendant tout le mois, la CFDT SOPRA STERIA vous propose sa playlist de l'été chaque vendredi tout le mois ! Bon courage à ceux qui travaillent et bonnes vacances aux chanceux !






lundi 19 août 2019

FRANCE TÉLÉCOM : LE PROCÈS D’UN SYSTÈME

Le procès historique des anciens dirigeants de France Télécom pour harcèlement moral suite à la vague de suicides et de dépressions au début des années 2000 a commencé.

CFDT Magazine revient sur cette affaire dans laquelle la CFDT s'est portée partie civile.

https://www.cfdt.fr/portail/actualites/vie-au-travail/france-telecom-le-proces-d-un-systeme-srv2_674915
https://www.cfdt.fr/portail/actualites/vie-au-travail/france-telecom-le-proces-emblematique-d-un-systeme-srv1_1002802


Après deux mois et demi d’audience, le procès des ex-dirigeants de France Télécom s’est achevé le 11 juillet.
Le parquet a requis les peines maximales, dont des peines de prison. Verdict le 20 décembre.


C’est un procès hors norme – et qui suscite de grandes attentes – qui s’est achevé le 11 juillet : le renvoi en correctionnelle de sept ex-dirigeants de l’ancienne entreprise France Télécom (devenue Orange en 2013) ainsi que de l’entreprise elle-même, en tant que personne morale, poursuivis pour harcèlement moral et complicité de harcèlement. Un procès sans équivalent, tant par son caractère inédit – jamais auparavant une entreprise du CAC 40 n’avait été mise en accusation – que par l’ampleur des faits incriminés. Entre 2007 et 2010, l’entreprise, engagée dans un plan de restructuration à grande échelle (le plan NExT, dont l’objectif était de transformer France Télécom en trois ans, avec un objectif de 22 000 départs et 10 000 mobilités sur un total de 120 000 salariés), était surtout devenue une machine à broyer : mobilités forcées, humiliations, placardisations, suppressions de mission sans préavis, déclassement, etc. Les pires méthodes de déstabilisation ont été utilisées, poussant des dizaines de salariés au pire : suicides, tentatives de suicide, dépression… Les deux mois et demi d’audience, pour lesquels tous les participants s’accordent à reconnaître la qualité des débats et de l’écoute accordée à chacun (témoins, parties civiles, prévenus, avocats, etc.), auront en tout cas permis de prendre la mesure du « système France Télécom » et de la souffrance endurée par les salariés à l’époque.
Peines maximales requises

Une présence active et sans faille de la CFDT
Partie civile au procès, la CFDT aura permis de verser au dossier un élément-clé « qui a constitué un point de bascule du procès », selon Gilles Bruchier, secrétaire fédéral de la F3C. La CFDT a en effet permis la projection, en audience, du documentaire de Serge Moati, France Télécom, chronique d’une crise, commandé par la direction de France Télécom en 2008 (et tourné entre 2009 et 2010), mais resté rangé dans un tiroir de l’entreprise pendant plus de dix ans et jamais diffusé. Ce documentaire, éprouvant, montre clairement que les dirigeants étaient tout à fait conscients des dommages collatéraux de la mise en œuvre du plan NExT à l’époque des faits. Leurs témoignages, face caméra, viennent donc contredire leur ligne de défense en début de procès, et qui pourrait se résumer par un « nous ne savions pas ». « Ce film apporte la preuve du côté intentionnel des pratiques de déstabilisation. Mais est-ce que cela suffira à qualifier l’ensemble des faits d’intentionnels ? », note Élisa Mistral, DSC d’Orange. Réponse le 20 décembre.
Le parquet a d’ailleurs requis le maximum prévu par la loi en vigueur au moment des faits (elle a été durcie depuis) : 75 000 euros d’amende contre France Télécom ; un an d’emprisonnement et une amende de 15 000 euros à l’encontre des trois principaux prévenus accusés de harcèlement, dont Didier Lombard, l’ex-PDG ; huit mois d’emprisonnement et 10 000 euros d’amende à l’encontre des quatre responsables poursuivis pour complicité de harcèlement. L’attente risque donc d’être longue d’ici au verdict, le 20 décembre. D’autant plus que les espoirs placés en la jurisprudence sont immenses. « Au terme des recours et bien au-delà de notre entreprise, c’est tout le monde du travail, dans le public comme dans le privé, qui attend une condamnation exemplaire des anciens dirigeants mais aussi de l’entreprise elle-même, explique Jérôme Morin, secrétaire général de la Fédération Communication-Conseil-Culture (F3C), partie civile au procès. D’un point de vue moral, malgré un réquisitoire fort et des peines maximales requises, les demandes du parquet sont jugées faibles aux yeux du personnel d’Orange. Ce, au regard des dégâts causés par cette politique et le coût humain exprimé par les victimes et les familles endeuillées. »
Quelle définition du harcèlement ?
Les magistrats ont maintenant fort à faire : déterminer si les agissements des anciens responsables remplissent effectivement les conditions du délit de harcèlement moral tel que défini dans le code pénal. À savoir « le fait de harceler autrui par des agissements répétés ayant pour objet ou pour effet une dégradation des conditions de travail susceptible de porter atteinte à ses droits et à sa dignité, d’altérer sa santé physique ou mentale ou de compromettre son avenir professionnel […] ». Il s’agira également d’apprécier si cette définition peut s’appliquer à une politique managériale. « C’est tout l’enjeu du procès : faire reconnaître que le harcèlement ne se limite pas à du harcèlement interpersonnel mais qu’il peut être constitué par une politique d’entreprise ou par une organisation du travail », explique Jonathan Cadot, avocat de la CFDT dans ce procès (lire l’encadré). Ce que, évidemment, les avocats des prévenus – qui ont plaidé la relaxe – contestent formellement : selon eux, non seulement il n’y a pas eu de stratégie au sein de l’entreprise et de ses dirigeants en vue de déstabiliser les salariés et de les pousser au départ mais, plus encore, la définition du code pénal exclut l’idée même de « harcèlement managérial ».

Pour la CFDT, ce procès doit faire jurisprudence et enfin permettre de faire évoluer la notion de harcèlement, « afin qu’elle puisse nous être utile dans l’action syndicale et la prévention des risques psychosociaux par rapport à la pression que peuvent mettre des directions dans le cadre de restructurations, comme c’est actuellement le cas à La Poste, France Télévisions ou Radio France, entre autres », ajoute Jérôme Morin, inquiet quant à la situation à La Poste notamment. « Prononcer la relaxe, ce serait donner carte blanche aux dirigeants pour mener des politiques selon leur bon vouloir. Il ne faut plus que cela arrive. Jamais », conclut Élisa Mistral, la déléguée syndicale centrale d’Orange.

mercredi 14 août 2019

CFDT et LGTBI : on continue : Pas de Phobies au Boulot !



 La CFDT participe à la Marche des Fiertés depuis sa création et défend au quotidien les personnes LGTBI victimes de discriminations !

mardi 13 août 2019

Toi aussi brille en société : Sois digital ! Utilise tes doigts !

La CFDT vous informe des négociations en cours et des nouveautés, en vous abonnant simplement à la liste Essentiel pour cela un seul mail au robot de yahoo,à EssentielSopra-subscribe@yahoogroupes.fr ! Transmettez autour de vous !

Au-delà du débat sémantique sur l’utilisation de « numérique » ou de « digital », issu de l’anglais, force est de constater que chez Sopra Steria, pour être « in » il faut placer le mot « Digital » à tout bout de champ ! Les manageurs ou les salariés laissent libre court à leur imagination, et ça fuse !

Vu sur Yammer :
En oubliant parfois que « digital » en français
c’est « AVEC LES DOIGTS »

et que le double sens peut entrainer quelques rires …



 Ou encore ce bel affichage sur site : Doit-on préciser que « Lovers » veut dire amants ? #LesAmantsDigitaux ?!! … agiles !?!


Et vous ? Vous en avez repéré ?
N’hésitez pas à nous les envoyer !
 
 

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