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mercredi 18 décembre 2019

On parle de notre entreprise et de nos notes dans Capital !

Avez-vous lu le dernier numéro du magazine Capital ? Sur le sujet principal « tous fliqués, tous notés » on parle de Sopra Steria ! (p74)

La CFDT est même citée. Nous vous recommandons cette lecture !

Juste une erreur : la direction n’a pas arrangé les choses depuis, elle a juste fait disparaître la note de potentiel du système mais pour les décalages entre les notes données aux salariés et celles enregistrées, c’est toujours le cas !
Quand aux notes de potentiel, elle continuerait à être attribuer "en cachette" en CRH!!!!

 


vendredi 13 décembre 2019

LA CFDT APPELLE à la grève mardi 17 décembre ! Tous les salariés Sopra Steria, I2S, Sopra Banking, Sopra HR, Axway,... sont concernés!


L'Essentiel du CSE constitutif SSG par vos élus CFDT !


Qui dit CSE constitutif, dit désignation des secrétaires, trésoriers, commissions, etc… 
Quel partage entre les listes élues, la CFDT étant la deuxième liste ? Des miettes…



Point 1 : Désignation des membres du bureau du Comité Social et Économique d'Établissement (CSE) Sopra Steria Group (Secrétaire, Secrétaire adjoint, Trésorier, Trésorier adjoint)
Un CSE sous obédience patronale grâce à une alliance pro-patronale de l’association syndicale Traid U*ion avec les syndicats minoritaires CFE-CGC et S3I.
Résultat … Cette opportune entente a décidé de s’octroyer, anti démocratiquement, tous les postes du bureau :
Secrétaire : Traid U*ion
Secrétaire adjoint : Traid U*ion
Trésorier : Traid U*ion
Trésorier adjoint : S3i
Point 3 : Élection des membres du Comité Social et Économique Central de l'UES Sopra Steria Group.
Meli mélo incroyable lors de ce point pour ce premier CSE. La direction juridique, incapable de répondre aux questions des élus, veut s’en remettre à l’inspection du travail pour éclaircir son avis sur le mode de désignation des représentants du CSE au comité central de l’UES SSG. L’enjeu est important pour la direction :
·         Soit comme toutes les fois précédentes, un scrutin proportionnel qui permet une représentation de la minorité au CSEC (2 sièges pour les majoritaires, 1 siège pour les minoritaires)
·         Ou, comme demandé par la majorité, par un scrutin majoritaire qui ne permet pas une représentation de la minorité au CSEC (3 sièges pour les majoritaires, 0 siège pour les minoritaires)
Le point est reporté ultérieurement en espérant avoir rapidement la réponse … et pas forcément une réponse qui arrange la direction …
Point 4 : Désignation du représentant du CSE Sopra Steria Group au Conseil d'Administration de la société Sopra Steria Group.
Fini le bon temps ou le CE avait un représentant issu des syndicats des salariés au conseil d’administration :

Comme pour le bureau du CSE la direction place ses pions et en particulier celui qui ne fera pas de vague chez les grands de ce monde qui nous dirige : le secrétaire du CSE …
Point 5 : Désignation du référent du Comité Social et Économique d'Établissement Sopra Steria Group en matière de lutte contre le harcèlement sexuel et les agissements sexistes
L’entreprise voit son obligation de prévention renforcée, complétée par une obligation de réaction, par la mise en place d'un référent harcèlement sexuel car ce dernier, après sa formation, aura pour rôle d'être un soutien moral à toutes les victimes de harcèlement sexuel et d'agissements sexistes sur le lien de travail.
Nouveau poste lié au CSE, le référent du CSE en matière de lutte contre le harcèlement sexuel et les agissements sexistes aura aussi pour mission de renforcer la capacité des élus à être identifiés par les salariés comme recours possibles face au harcèlement sexuel et aux agissements sexistes et de proposer des actions de prévention en ces matières.
Les affaires soulevées par le référent du CSE étant assez sensible la direction ne laisse pas passer l’opportunité de placer un élu pro patronal là encore …
Point 6 :    Désignation des membres des commissions obligatoires :
6.1.     Commission Santé Sécurité et Conditions de Travail (CSSCT),
6.2.     Commission « orientations stratégiques »,
6.3.     Commission « Politique sociale, emploi et égalité professionnelle »,
6.4.     Commission « développement des compétences »,
6.5.     Commission « Situation économique et financière »,
6.6.     Commission des Marchés.
L’esprit d’ouverture des syndicats pro-patronaux restant assez limitée, ils ne laissent même pas un poste par syndicat dans chaque commission. La répartition des postes sur les commissions obligatoires du CSE est la suivante :
La commission SSCT : sur 15 places, 12 pour l’alliance pro-patronale, 1 Avenir, 1 Solidaires, 1 CFDT.
La commission Orientation Stratégique : sur 9 places, 6 pour l’alliance pro-patronale, 1 Solidaires, 1 CFDT, 1 Avenir.
La commission Politique sociale : sur 9 places, 7 pour l’alliance pro-patronale, 1 CGT, 1 CFDT.
La commission Développement des compétences : sur 9 places, 7 pour l’alliance pro-patronale, 1 CGT, 1 CFDT.
La commission Economique et financière : sur 9 places, 6 pour l’alliance pro-patronale, 1 CFDT, 1 Solidaires, 1 Avenir.
La commission des Marchés : sur 9 places, 7 pour l’alliance pro-patronale, 1 Avenir, 1 Solidaires.
À noter : la très belle performance des élus S3I qui récupèrent 7 postes avec seulement 1 élu titulaire (déjà trésorier adjoint) et 1 élu suppléant. Pas mal … quand on représente 226 voix aux élections …. Avec une plainte en cours contre ce syndicat …
Point 8 : Représentants de proximité
Vos élus CFDT demandent à avancer la désignation de ces représentants, afin qu’ils soient auprès des salariés le plus tôt possible. En effet, l’assistance pour les Ruptures Conventionnelles et Licenciement n’attend pas ! De plus, les problèmes urgents locaux et personnels ne peuvent attendre des mois leur résolution !
En laissant le temps pour l’appel à candidatures, un CSE extra pour désigner les RP est décidé pour le 16 janvier.  
Point 9 : Règlement intérieur du Comité Social et Économique d'Établissement Sopra Steria Group
Le CSE forme un groupe de travail afin de préparer une première écriture d’un nouveau règlement intérieur décrivant le fonctionnement des instances et des commissions du CSE. Affaire à suivre car la rédaction est toujours fastidieuse.
Point 10 : Acceptation du patrimoine du CE et de son affectation par le Comité Social et Économique d'Établissement Sopra Steria Group
Lors de ce CSE constitutif, les élus doivent accepter le patrimoine de l’ancien CE. Lors de cette acception, le législateur permet un transfert des fonds de fonctionnement (AEP) vers les fonds des œuvres sociales (ASC). C’est très inhabituel et les élus jugent bon de se saisir de l’occasion pour permettre de dépenser l’argent bloqué sur le compte de fonctionnement pour les œuvres sociales à tous les salariés.
Les élus votent l’acceptation complète du patrimoine du CE et le transfert des 3,325 M€ qui étaient sur le compte de fonctionnement vers le compte des ASC.

jeudi 12 décembre 2019

REFORME DES RETRAITES Une réforme plombée par l’obsession budgétaire


Communiqué de presse :

Malgré les alertes de la CFDT, le Premier ministre a imposé des mesures d’âge inutiles et injustes à travers l’instauration d’un « âge d’équilibre » dès 2022. Pour la CFDT, une ligne rouge a été franchieCette disposition remet en cause la promesse du président de la République de ne pas faire de mesure d’âge. Ce sont tout particulièrement ceux qui ont commencé à travailler jeune, et les personnes qui se retrouvent au chômage en fin de carrière qui seront pénalisés. Dès 2022, ceux qui pouvaient prétendre à la retraite à 62 ans devront travailler plus longtemps pour maintenir leur niveau de pension : si la réforme systémique est repoussée à la génération 1975, les mesures d’économies sont, elles, avancées à la génération 1960.
La CFDT rappelle que les salariés font déjà des efforts puisque les lois antérieures prévoient un allongement de la durée de cotisation pour tous jusqu’en 2035.
La CFDT porte depuis de nombreuses années l’ambition de construire un système de retraite juste, solidaire et universel. Si le rapport Delevoye donne tous les outils pour le bâtir, la concertation menée depuis septembre n’a pas permis d’avancer sur des points essentiels :
-       La reconnaissance de la pénibilité n’est aujourd’hui pas à la hauteur alors qu’elle est une condition de la justice sociale.
-       La CFDT maintient qu’une carrière complète au SMIC mérite une pension bien supérieure à 85% du SMIC. Le gouvernement doit aller plus loin en la matière.
-       Les dispositions en matière de retraite progressive restent quant à elles très floues ; la responsabilité des entreprises dans le maintien dans l’emploi des seniors doit être engagée.
-       Il est urgent que la situation des travailleurs concernés par les régimes spéciaux soit clarifiée, et que les mesures de compensation et de revalorisation salariales pour la fonction publique soient définies.
L’obsession budgétaire et la justice sociale ne font pas bon ménage. En souhaitant mener de front une réforme ambitieuse et une réforme budgétaire à l’ancienne, l’exécutif a perdu le sens et la lisibilité d’une réforme du système de retraite pourtant attendue.

La CFDT appelle donc l’ensemble des travailleurs à se mobiliser le 17 décembre pour que le gouvernement renonce à toute mesure d’âge et rouvre les discussions pour un système de retraite universel qui soit réellement juste.

RÉFORME DES RETRAITES : UNE LIGNE ROUGE A ÉTÉ FRANCHIE ! Mobilisation le 17 décembre !

Après des semaines de tergiversations, le gouvernement a fini par trancher. En plein débat sur la réforme systémique des retraites, il annonce une mesure sur l’âge de départ applicable dès 2022. Une mesure paramétrique inacceptable pour la CFDT qui appelle, le 17 décembre, à la mobilisation pour le contraindre à revoir sa copie.
« Il y avait une ligne rouge dans cette réforme pour la CFDT. Cette ligne rouge est aujourd’hui clairement franchie. » A peine les annonces du Premier ministre connues Laurent Berger n’a pas caché sa colère. Le gouvernement n’a finalement pas revu sa copie et annoncé la mise en place progressive d’un âge d’équilibre à 64 ans dès 2022, c’est-à-dire la génération née en 1960. La CFDT qui soutient l’idée d’une réforme en profondeur du système de retraite et n’avait pas appelé à manifester pour laisser le temps à l’exécutif de présenter son projet avait bataillé jusqu’au dernier jour pour éviter cette mesure paramétrique injuste.
Une mesure d’âge injuste
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« Malgré les alertes lancées par la CFDT, le Premier ministre a imposé des mesures d’âge inutiles et injustes à travers l’instauration d’un « âge d’équilibre ». Cet âge d’équilibre remet en cause la promesse du président de la République de ne pas faire d’économies dans le cadre de cette réforme. Ce sont tout particulièrement ceux qui ont commencé à travailler jeunes, et les personnes qui se retrouvent au chômage en fin de carrière qui seront pénalisés. », résume le secrétaire général.
La CFDT rappelle par ailleurs que la réforme Touraine de 2014 pour le privé, et la réforme de 2008 pour les régimes spéciaux et la fonction publique prévoyaient déjà un allongement de la durée de cotisation jusqu’en 2035. Il n’était donc pas souhaitable de faire bouger également l’âge de départ en mettant en place un système de bonus/malus autour de 64 ans.
Les annonces du Premier ministre en ce qui concerne les mesures sociales sont également en deçà des attentes de la CFDT. « La prise en compte de la pénibilité n’est aujourd’hui pas à la hauteur : il est grand temps de mieux reconnaître la pénibilité pour toutes celles et ceux qui la subissent », insiste le secrétaire national en charge des retraites Frédéric Sève. Sur ce point, le projet reste en effet encore très vide à part une avancée sur le travail de nuit. Enfin, la CFDT maintient qu’une carrière complète au SMIC mérite une pension bien supérieure à 85% du SMIC. Les dispositions en matière de retraite progressive restent quant à elles très floues.
« L’obsession budgétaire et la justice sociale ne font pas bon ménage. En souhaitant mener de front une réforme ambitieuse et une réforme budgétaire à l’ancienne, l’exécutif a perdu le sens et la lisibilité d’une réforme du système de retraite pourtant attendue », conclut Laurent Berger.
La CFDT appelle donc l’ensemble des travailleurs à se mobiliser pour que le gouvernement renonce à toute mesure d’âge et pour un système de retraite universel qui soit réellement juste. Cela implique de prendre réellement en compte la pénibilité, d’élever le minimum de pension et de porter de vraies ambitions en matière de retraite progressive. Elle appelle à la mobilisation le 17 décembre.

lundi 9 décembre 2019

Information CSE Sopra Steria Group !


Numéro 86
Numéro 86
La direction constitue un CSE à ses ordres 
et écarte les défenseurs des salariés


Après la création de son
SYNDICAT PRO-PATRONAL,
la direction innove avec son
ALLIANCE PRO-PATRONALE !

Un CSE sous obédience patronale !
Tout est calculé, tout est arrangé, tout est contrôlé. Imaginez une alliance pro-patronale de l’association syndicale Traid U*ion avec des syndicats minoritaires CFE-CGC et S3I affaiblis par des résultats désastreux et avides de revanche qui totalisent ensemble 18 voix au CSE contre 17 voix pour les syndicats investis dans la défense des salariés.

Résultat … cette opportune entente s'est octroyé tous les postes de secrétaires, de trésoriers et du conseil d’administration et a noyauté toutes les commissions :

Ce nouveau CSE se retrouve orphelin de toute représentativité syndicale pro-salariés

Cette alliance est allée jusqu’à désigner comme trésorier adjoint un élu S3I, syndicat contre qui le 16 octobre 2019 l’ancien CE a voté une action en justice pour avoir envoyé des mails désespérés de propagande sur toutes les adresses emails personnelles des salariées de l’entreprise, invitant celles-ci à se présenter sur leur liste.
L’association syndicale Traid U*ion qui s’insurgeait contre les pratiques irrégulières du syndicat S3I et votait des sanctions contre S3I, contre toute attente s’acoquine un mois plus tard avec le syndicat contrevenant pour faire main basse sur le CSE.
Cette entente sur fond de procédure pénale est une aubaine royale pour la direction qui a affiché des sourires de bonheur et de bonne humeur consécutivement à cette mascarade.
Avec pour résultat :
·                 Secrétariat : 2 membres Traid U*ion
·                 Trésorerie : 1 membre Traid U*ion et 1 membre S3I

Et les commissions obligatoires du CSE ?
Tout s’enchaîne et l’esprit d’ouverture des syndicats pro-patronaux reste limité et contrôlé …
La répartition des postes sur les commissions obligatoires du CSE :
-                   La commission SSCT : sur 15 places, 12 pour l’alliance pro-patronale
-                   La commission orientation stratégique : sur 9 places, 6 pour l’alliance pro-patronale
-                   La commission Politique sociale : sur 9 places, 7 pour l’alliance pro-patronale
-                   La commission Développement des compétences : sur 9 places, 7 pour l’alliance pro-patronale
-                   La commission Economique et financière : sur 9 places, 6 pour l’alliance pro-patronale
-                   La commission des marchés : sur 9 places, 7 pour l’alliance pro-patronale
À noter : l’exploit des élus S3I qui s’approprient 7 postes avec seulement 1 élu titulaire (déjà trésorier) et 1 élu suppléant avec seulement 9 voix aux élections sur leur site de rattachement.

Côté Activités Sociales et Culturelles, l’alliance pro-patronale, faute de pouvoir être présente sur tous les sites a sollicité les syndicats pour faire le travail !
Les commissions de l’ancien CE sont reconduites à l’identique sans aucune réflexion de la part du nouveau bureau pour les faire évoluer et sans tenir compte des nouveaux centres d’intérêt des salariés. Dommage une belle occasion ratée pour moderniser les œuvres sociales et culturelles.
L’acceptation du patrimoine du CE.
Lors de ce CSE constitutif, les élus doivent accepter le patrimoine de l’ancien CE. Lors de cette acception, le législateur permet un transfert des fonds de fonctionnement (AEP) vers les fonds des œuvres sociales (ASC). C’est très inhabituel et les élus jugent bon de se saisir de l’occasion pour permettre de dépenser cet argent bloqué sur le compte de fonctionnement.
Les élus votent l’acceptation complète du patrimoine du CE et le transfert des 3,325 M€ qui étaient sur le compte de fonctionnement vers le compte des ASC.
Comment nous rejoindre ? APPELEZ-NOUS !

jeudi 5 décembre 2019

GALITT : NÉGOCIATION ANNUELLE OBLIGATOIRE 2019 - échec des négociations !





                NÉGOCIATION ANNUELLE OBLIGATOIRE 2019

La NAO 2019 a abouti à un constat de désaccord.

Les revendications non satisfaites :

Valorisation de l’ancienneté :
Selon le rapport sur la politique sociale 2018 réalisé par l’expert CSE, un effort doit être fait pour valoriser l’ancienneté. Nous avons donc proposé des augmentations minimum par tranches d’ancienneté ce qui a été refusé par la Direction qui préfère mettre l’action sur les jeunes.
La fidélité n’est assurément pas récompensée.
Augmentation moyenne minimum pour la majorité des salariés :
  • D’au moins 1,9% pour les ETAM (inflation) ;
  • D’au moins 1,5% pour 90% des cadres.
Cette augmentation des salaires garantit le maintien du pouvoir d'achat pour la grande majorité des salariés.
La rentabilité de notre secteur d’activité, la performance et l’état de santé de notre entreprise ainsi que les efforts de tous justifient cette demande.
L’augmentation collective n’exclut pas les augmentations individuelles. Nous considérons que la performance individuelle ne doit pas être le seul indicateur utilisé car elle dépend des opportunités qui sont présentées à chacun et aux missions qui lui sont confiées en fonction des demandes des clients.
La Direction souhaite davantage de sélectivité à l’image du groupe et a proposé les augmentations de salaires :
  • D’au moins 1,9% pour 80% des ETAM (inflation).
  • D’au moins 1,5% pour 75% des cadres.
Nous étions prêts à accepter une augmentation minimum de 1,5% pour 80% des cadres.

Nous étions favorables à l’ensemble des mesures listées ci-dessous dont la plupart seront néanmoins appliquées.
  • Augmentation du barème des astreintes afin de s’aligner sur les règles du Groupe Sopra Steria et mise en place d’un taux horaire minimum d’intervention de 25 Euro ;
  • Paiement des jours fériés aux stagiaires ;
  • Risques psycho sociaux, harcèlement, discriminations : diffusion de guides et accès à des sessions de e-learning sur un certain nombre de risques professionnels, dont les RPS et le harcèlement ;
  • Evolution des règles de remboursement des frais téléphoniques engagés par les salariés dans le cadre professionnel (50% de l’abonnement plafonné à 10 Euro/mois) ;
  • Voyages et déplacements :
    • Les compensations applicables aux voyages intercontinentaux seront appliquées à tous les types de voyages, sans considération du caractère intercontinental ou non de ceux-ci.
    • Si une partie du déplacement est réalisé un samedi, un dimanche ou un jour férié avant 14h en raison des besoins de l’activité (et hors choix personnel du salarié), celui-ci donnera lieu à une journée de récupération. Dans l’hypothèse où cette contrainte horaire ne s’applique pas, la compensation accordée est d’une demi-journée.
  • Mobilités durables : Mise en place du volet « forfait mobilité » issu de la loi « mobilités » ;
  • Augmentation du budget « œuvres sociales » du CSE de 3 000 euros.