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Transmettez autour de vous ! La CFDT vous informe en
avant-première des négociations en cours et des nouveautés, en vous
abonnant simplement à la liste Essentiel pour cela un mail à essentiel-soprasteria+subscribe@googlegroups.com !
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Et voilà pour vous ci-joint en exclusivité l’Essentiel de la réunion du CSE de fin septembre, une séance ordinaire qui a du être prolongée sur pres de 4 jours. Vous retrouverez dans votre résumé :
è le télétravail après octobre,
è Immobilier : un projet plus cher, plus petit, qui ne permettra pas de caser tous les salariés d’aujourd’hui, avec moins de place par poste de travail, … et un vote d’élus POUR ! oO
è la haute considération de la direction qui traite de « bobos de l’âme » les BurnOut et autre RPS…
è les infos économiques
è Zoom sur SSE et Sodifrance
è les effectifs encore
è on piétine sur les problèmes de points retraite…
è les accidents du travail
è les associations locales financées par le CSE et les drôles de règles de certaines
Etc…
Bonne
lecture !
Vos élus CFDT font de nouveau une déclaration en entrée de
réunion pour dénoncer la non-reprise (une fois de plus) de nos points
remontés à l’Ordre du Jour du CSE. Chaque mois, c’est un blocage, aucun de
nos points ou presque n’est repris dans l’ordre du jour, et les situations
perdurent, sans correction… |
Point 1.1 : Situation sanitaire et télétravail |
La direction n’a pas la liste
des salariés pour lesquels le passe sanitaire ou la vaccination est
obligatoire. Les seules informations fournies
concernent l’APHP (2 projets : 74 personnes) et le CHU de Bordeaux (1
projet : 1 personne) pour lesquelles la vaccination est demandée. La direction indique qu’elle
prendra en charge les tests PCR si ceux-ci sont nécessaires pour se rendre en
clientèle. Vos élus CFDT demandent quand
s’arrête le télétravail obligatoire (exceptionnel) chez SSG ? La
direction annonce que ce sera fini au 1er novembre. À partir du 1er novembre donc, la direction ne peut
plus vous imposer le télétravail comme aujourd’hui ! À l’interrogation de vos élus
CFDT sur les problèmes de place
lors du retour sur site (notamment à Toulouse, Rennes et Paris) et les
problématiques que cela va engendrer si partage de bureaux (place pour les
affaires, nettoyage, regroupement d’équipes, …), la direction répond qu’il n’y a pas besoin de plus de places mais seulement
d’une bonne organisation en local et qu’il reste 1 mois pour échanger et
réorganiser le retour sur site (sic !). La direction refuse de nous
donner la liste des locaux où le
partage des bureaux est déjà en place (ni même celle des endroits SANS
partage de bureaux, qui doit être plus courte !). Sans doute parce que ce
serait reconnaitre qu’elle l’a mis en place sans l’avis des élus, ce qui est
le cas. Nous alertons la
direction : une mise en place au pas de charge d’un flex office non
étudié pour tous différents métiers de l’entreprise risque d’être
catastrophique pour l’entreprise ! Nous lui répétons qu’elle sous-estime
l’importance du sujet sur les salariés et que cela peut s’avérer dramatique sur
les départs et les recrutements. Deux
communications sont annoncées : -
L’une sur
les évolutions liées au protocole sanitaire (jauge/fin du volontariat) -
L’autre sur
les modalités de demande de télétravail régulier. L’outil
de saisie des demandes de télétravail régulier était en cours de recette, et
était prévu opérationnel au 15 octobre. Nos questions : -
Que se
passe-t-il si le salarié n’est pas d’accord sur les jours de télétravail
demandé par son manageur ? -
Le
management a 15 jours pour répondre, pourquoi n’est-ce pas respecté ? -
Pourquoi demander
un papier d’assurance pour le télétravail régulier alors que depuis 2 ans on
ne nous demande rien ? -
Comment
pouvez-vous demander aux salariés une attestation de conformité électrique
alors que ce n’est pas leur métier ni compétence : comment doivent-ils
faire ? La direction répond qu’en effet
ces sujets sont « à éclairer ». Tout cela semble loin d’être prêt. Nous vous conseillons donc
d’attendre avant de demander votre télétravail régulier, D’AUTANT PLUS QUE CELA FORCERA
LA DIRECTION À REVOIR SA COPIE POUR LE FLEX OFFICE ! |
Point 1.2 : Immobilier |
Latitude, la nouvelle tour à la Défense pour
la région parisienne, accuse un retard de 5 à 6 semaines. Le CSE a rendu son
avis il y a plusieurs mois et la direction doit y répondre. Nous demandons sa
réponse, elle repousse encore à octobre voire novembre… Pour les autres sites, ce n’est
pas clair, les élus CFDT demande un tableau avec la surface des sites en m²
et le nombre de poste par site. |
Point 1.3 : Information/Consultation sur la prise à bail du
bâtiment Trinity |
Objectifs : -
Regroupement
des salariés parisiens (rationalisation des sites) -
Locaux
neufs, modernes et adaptés aux nouveaux besoins des salariés -
Étude
de la mise en place du flex-office. Deux phases prévues : -
Phase
1 (mars 2022) : sortie des sites de Meudon, Chantecop, Triangle,
Sèvres (Cimpa) et Boulogne (Galitt). Ouverture du site de Latitude :
accueil de Galitt, de Cimpa, du pôle France et des équipes fonctions (DSI,
DI, DGCP, Academy et DJ France). -
Phase
2 (novembre 2022) : sortie des sites de Manhattan et Fontenay SAB. Ouverture
du site de Trinity (5 étages : 8 750 m²) : accueil de SHRS, de
Real Eastate et d’une partie de SBS (l’autre partie allant sur Kléber). Économies prévues : + de 11
millions d’euros par an ! Vos élus demandent à avoir un
récapitulatif de tous les mouvements prévus en région parisienne pour avoir
une vision claire des m² et postes de travail avant et après les
fermetures/ouvertures de sites et les nombreux déménagements prévus. La proposition d’avis de vos
élus CFDT sur le sujet : « On nous demande
notre avis pour prendre un bail sur La Défense, pôle parisien engorgé en
termes de transports, pour un nouveau bâtiment (Trinity) : -
plus cher au m² ; -
qui ne permettra pas de
caser tous les postes des salariés d’origine ; -
et encore moins d’en
ajouter si, comme prévu et voulu, les effectifs augmentent !!! -
et avec moins de place
pour chaque poste (moins de 10m² par poste tout compris, contre 18m² à
Triangle) ! La direction ne
veut pas répondre à l’éventuelle présence d’open space sous prétexte que ce
n’est pas décidé. Alors que le nombre de postes a bien été déterminé, et en
fonction d’un aménagement donné. Car le nombre de postes possibles par m²
n’est pas le même selon qu’on a des open space ou des bureaux. Pour SSG, il
s’agit de 136 salariés de Real Estate sur Triangle qui vont être déplacés sur
Manhattan avec une dégradation de
leurs conditions de travail. Pour rappel, Real Estate vise de recruter 97
personnes en 2021. Cependant, nous ne savons pas combien de postes ils auront
à Manhattan et au final, sur Trinity, ils n’auront que 100 sièges contre 130
à Triangle aujourd’hui ! Au global, on
parle de la perte de 1 100 postes sur Paris alors que les objectifs de
recrutements sont hauts ! La direction se
base sur des visites aléatoires pour dire que les postes n’étaient pas tous
occupés, et qu’il n’y a donc disparition que de 340 postes. Quand on connait
l’engorgement des sites parisiens avant Covid, on croit rêver… Soit la
direction envisage une diminution des effectifs, soit elle met en place le Flex-office.
La direction
met en place le Flex-office et le
partage de bureaux, qui est une transformation énorme des conditions de
travail des salariés, sans préparation,
sans négociation ni consultation, alors que l’expérience montre qu’un Flex-office non préparé et
non adapté peut être catastrophique ! Cela entraine du mal-être, des sentiments de déconsidération, du
stress et du temps de travail perdu en recherche de poste et d’installation, …
Sans parler du
détournement du télétravail, qui va être de fait imposé aux salariés,
puisqu’ils n’ont pas de place sur site, alors que cela est totalement
interdit et que le télétravail doit être sur volontariat du salarié. Tout cela ne va
évidemment pas aider au recrutement,
et va entrainer des départs de salariés ! Et ce, alors que le DG a
annoncé lui-même que la difficulté des 3 prochaines années serait le
recrutement et les départs ! Cela est dangereux pour l’entreprise et les
représentants du personnel ne peuvent donc réagir que très négativement à ce
projet. Les élus du CSE
SSG donnent donc un avis très négatif au projet de prise à bail
présenté ce jour et enjoignent
vivement la direction à repenser totalement son projet pour le bien des
salariés et de l’entreprise !! » Malheureusement cet avis
n’obtient pas la majorité. Et, malgré tous les points
négatifs soulignés, les élus TraidUnion majoritaires votent
un avis POSITIF sur ce projet !!!
oO On tombe des nues ! Plus tassé, plus cher, pas de place
pour tous : Que leur faudrait-il pour voter contre un projet de la
direction ??!! |
Point 1.6 : Indicateurs (registres de chantiers, accidents travail
et trajet, absentéisme, télétravail régulier et exceptionnel) |
Suivi des accidents de travail
et de trajet : Des informations souvent incomplètes,
ne permettant pas de connaître les circonstances exactes de l’accident couplées
à la non fourniture de l’identité des salariés ni le lieu exact de l’accident :
Tout cela rend impossible tout travail des élus pour déclencher une enquête
si nécessaire ou proposer des actions pour éviter que cela ne se
reproduise ! Sans
oublier les erreurs, avec des accidents graves soi-disant avec 1 jour
d’arrêt, etc. Les élus CFDT rappellent qu’il n’est pas normal qu’un salarié
parte du site à 20h, et que cela engendre un risque croissant d’accident.
Nous demandons la fermeture des sites en dehors des horaires de travail. Absentéisme : Des incohérences sur le nombre
de jours d’arrêt de travail suite à accident de travail ou trajet fourni :
entre ce document et le nombre de jours d’arrêt mentionné dans le tableau de
suivi des accidents, ça change ! Il semblerait que les jours d’arrêt
pour accident de trajet soient saisis par erreur en maladie. |
Points 1.4 : Bilan des rapports RP et 1.5 : Présentation des
actions en cours de la CSSCT |
Depuis les dernières élections et la loi Travail, il n’y a plus
qu’une seule « commission » sur la Santé, la Sécurité et les
Conditions de Travail (CSSCT) pour toute la société Sopra Steria (12000
salariés et une 50aine de sites). Cette commission remplace les 22 CHSCT
locaux précédents. Les Représentants de Proximité (censé remplacé les DP) se voient
opposer des rejets à leurs questions locales sur des problèmes locaux. La
CSSCT ne les traite pas non plus, et au CSE, la direction refuse de les
aborder… Pour améliorer les choses, les TU majoritaires refusent de fournir
les rapports aux élus du CSE, ne fournissent les CR de leurs réunions CSSCT
qu’après des mois de retard, et refusent de partager les informations
obtenues en commission. Autant dire que le bilan n’est
pas glorieux et que rien n’a avancé depuis 2 ans de mandat… Nous essayons d’insister sur les cas de RPS (Risques
PsychoSociaux) et de BurnOut, avec des arrêts de salariés parfois très très
longs, et qui aboutissent souvent au départ de l’entreprise et à une
reconstruction à faire.
Au moment où on essaye de retenir les salariés, ne faut-il pas
s’y pencher ? Regarde-t-on les lieux où il y a des arrêts longs ?
N’a-t-on pas des remontées sur certains projets « démissio-gènes »
ou entrainant des arrêts de travail longs ? Des manageurs parfois
« un peu fermes » ? Les RP comme les élus CSE remontent des
cas de souffrance de salariés, d’arrêts longs, de burn-out, et demande à la
direction ce qu’elle fait. La direction s’agace : elle ne va pas
s’occuper des « Bobos de l’âme » des
salariés ! Voilà comment la
direction considère ses salariés et quelle importance elle donne à leur
bien-être et à leur santé ! Nous voilà prévenus… Quant à la
CSSCT, rien n’a avancé sur le sujet, ni enquête ni analyse n’a été lancé sur
aucun cas remonté pourtant pas les RP. Nous rappelons sa
responsabilité à la direction, car elle est alertée par les élus RP comme
CSE de ces remontées de problèmes de RPS, et elle ne fait rien. Une élue CFDT conclut ce point
en en appelant à plus de responsabilité de chacun, jugeant qu’il est
impossible de continuer ainsi dans cette situation affligeante ! |
Point 3.1 : Informations économiques Groupe |
Mois d’août mieux que prévu
surtout au niveau de la marge mais le Chiffre d’Affaires est en baisse
(-2M€). Il reste 4 mois pour améliorer un peu notre performance. Le turn-over remonte mois après
mois. Il faudrait gagner un point de
marge, il faut donc envisager d’augmenter les prix de vente. Il y a encore des projets en
dépassement : -
Singapour :
1 projet en très fort dépassement avec un turn-over >50%. La direction a
décidé l’arrêt de l’activité à la fin du projet. -
Solution
Immobilier France : beaucoup d’investissements et des alertes de
delivery. |
Point 3.2 : Informations économiques France |
Activité dynamique partout. Reprise forte sur Aeroline. Secteur Public : baisse
prévisible des sollicitations en lien avec les élections présidentielles. Clôture d’août meilleure que
prévue. Chiffre d’Affaires en hausse et
REX conforme à ce qui avait été prévu en fin d’année dernière. |
Point 3.2.1 : Présentation Vertical SSE |
La
demande vient d’une élue CFDT suite aux chiffres de rentabilité négative de
cette BU. Quelle est le plan d’actions ? Quels sont les problèmes
rencontrés ? Des
gros projets sont en difficultés, avec des difficultés de staffing. Le
plan d’actions : Renégociation avec les clients, exigence accrue dans
les avant-vente, et « rétention » des salariés par la fidélisation.
Pour la fidélisation, quelles actions ?
Ne riez pas, il y a la mise en place de V1 au niveau du conseil ! Ça
change tout… De
nombreux projets en tension donc, et pourtant, quand les élus CFDT cherchent,
sur Manhattan, 1 personne seulement a saisi un temps de travail entre mai et
juillet 2021 ! La direction répond que c’est à Sofia que le plus gros
projet est. Mais quand les élus CFDT regarde de nouveau : 3 personnes
seulement ont déclaré leurs heures. Des projets en tension, mais pas
une seule heure supplémentaire payée, mais on veut « retenir » les
salariés ! |
Point 3.2.2 : Présentation nouvelles Agences issues de Sodifrance |
Deux nouvelles agences : -
Migration (répartie
sur toute la France mais dépendante de Lyon) : effectifs en hausse (30
personnes en janvier, 46 en août et objectif de 55 à fin d’année), pas de
turn-over, 11 affaires gagnées et un Chiffre d’Affaires S1 de 2.3 Millions
d’Euros. -
Modernisation
SI (basée essentiellement à Nantes) : effectif de 29 personnes, 8
opérations en 2021, Chiffre d’Affaires S1 de 2,6 Millions d’Euros. |
Point 3.3 : Effectifs |
La
conversion des contrats des stagiaires en CDI est en cours. Objectif :
revenir à l’effectif au moment de l’intégration de Sodifrance soit + 300 personnes. Le
mois de septembre sera déterminant. On
est dans un marché où la guerre des talents fait rage. Le turn-over sur la
France sera surement <ou= à celui du marché, mais il y a encore trop de
départs. Les
raisons invoquées par les salariés : manque de perspectives, salaires et
raisons personnelles. Beaucoup
de salariés sont happés par les clients. La
direction se veut rassurante : « Il n’y a pas de site où on
souhaite baisser les effectifs ». On
note cependant 69 sorties d’ancien Sodifrance entre le 1er avril
et septembre. Les élus du CSE ont déjà alerté la direction notamment sur
Montpellier. La direction s’était engagée à regarder les salariés de ce site
pour les augmentations de juillet. Nous n’avons aucun retour sur ce point, et
les démissions augmentent, on atteint 14,37% de démissions déjà. Sur Lyon, la localisation du site est reconnue comme un vrai
frein au recrutement et un facteur de départ. Pourtant, la direction ne
prévoit aucune action, et quand on l’alerte dans le choix de nouveaux sites,
cela n’a aucun impact. |
Point 6.4 : Point expertise retraite |
Suite
au problème de points retraite manquant pour certaines périodes pour un grand
nombre de salariés, problème répétitif, le CSE a demandé une expertise. La
direction ne lâche rien et refuse de communiquer les informations nécessaires
pour régler l’ensemble du problème. Le
CSE est contraint de limiter l’expertise en cours aux données que veut bien
communiquer la direction. En
fonction du résultat de cette expertise, la position de la direction pourra,
éventuellement, peut-être, évoluer. |
Point 4.1 : Formations à la programmation neuro linguistiques |
Une question : « Pourquoi
utiliser des méthodes décriées par la MIVILUDES (Mission interministérielle
de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires) ». La réponse
a été apporté par écrit pas la direction. Et pourtant, malgré la non-urgence
du point et le fait qu’il a été répondu, un point sur les PNL est mis à l’Ordre
du Jour avec intervention de l’Academy. Du JAMAIS VU en CSE SSG, où les
questions même urgentes sont refusées systématiquement. Serait-ce parce que
la question émane des élus de la majorité ? Intervention de M Bouvier : « Pas de problème, il s’agit de formation de motivation sans volonté
d’embrigadement » Au vu du questionnement des élus, du rappel au RI Sopra Steria, et
des éléments publicitaires existant sur le NET, il accepte d’étudier le point
soulevé, mais rajoute que cela lui semble bien farfelu. |
Point 6.2 : RI Commission des marchés |
RI
= Règlement Intérieur (règles de fonctionnement). Objectif :
modifier le RI actuel pour permettre les réunions en conférence téléphonique. Premier
fait, pas de marques de révisions, il est impossible de voir l’ensemble des
modifications proposées, malgré nos demandes. La présidente de la commission
indique ne pas avoir vu ces demandes et s’en excuse. Plusieurs
interventions d’élus indiquent que la présentation de la présidente est
erronée, en affichant une unanimité de la commission sur cette demande alors
qu’il n’y avait pas unanimité de la commission. Certains sont contre. Suite
à plusieurs interventions pour amender ce texte (afin que cette possibilité
ne soit utilisée qu’en cas de circonstance exceptionnelle), le secrétaire du
CSE préfère retirer le point, et indique le mettre à l’ordre du jour du CSE
d’octobre en attendant l’avis, non encore sollicité, du commissaire aux
comptes. |
Point 6.3 : RI CSE dernière version |
RI
= Règlement Intérieur (règles de fonctionnement), cette fois-ci de l’ensemble
du CSE. Objectif :
valider le RI comme demandé par l’expert-comptable et le commissaire aux
comptes. Sur
ce Règlement Intérieur, par le passé et quand la majorité était syndicale, il
était adopté et modifiable seulement au 2/3 des votants, afin de rechercher
le consensus sur ce sujet et de ne pas permettre de le modifier à chaque
changement de majorité en accordant à la liste majoritaire tous les pouvoirs.
C’est fini, les TU le vote désormais à la majorité et le rédigent, sans
prendre en compte les avis des autres listes, et sans prendre aucune de leurs
remarques. Nous
souhaitions en particulier l’obligation de prendre en compte dans l’ordre du
jour tous les points demandés par les élus du CSE, lors de son élaboration
par le secrétaire du CSE. Refus, comme de tout le reste. Aucune discussion,
ce RI est voté par la majorité des élus du CSE, malgré l’opposition de la CFDT.
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Point 6.5 : Conventions CSE/Associations Locales et bilans 2019
et 2020 |
Suite
aux demandes réitérées de vos élus CFDT, ce point a été enfin mis à l’ordre
du jour. Objectif : Présenter
les conditions d’attribution des subventions aux différentes associations et
vérifier l’utilisation de celles-ci. 5
associations ont été présentées par le trésorier du CSE, puis par les
responsables des commissions locales en charge de suivre lesdites
associations. Vos élus ont juste reçu un tableau avec quelques chiffres. Quelques
erreurs dans la présentation ont été corrigées en séance pour les
associations de Toulouse et de Rodez. Aucune
remarque sur les associations d’Albi et de l’Aquitaine. Pour
Paris, ce n’est pas tout à fait la même chose, à demi-mot le trésorier
concède un fonctionnement qui pourrait être litigieux, et le responsable
régional précise en séance l’arrêt d’une des sections de l’association, même
si celle-ci avait préalablement demandé une subvention. Le
trésorier du CSE indique qu’il va demander à chaque association de signer une
nouvelle convention dans laquelle il y aura une obligation de renvoyer un
bilan comptable aux normes demandés par le commissaire aux comptes. L’association
parisienne ne respecte pas les règles. Elle avait
pourtant signé une convention, mais ne la respecte pas. Elle ne respecte pas
la règle des 50% maximum de subvention sur les activités : ni pour le
tennis et le golf en 2020, mais pas non plus pour l’aéroclub, que ce soit en
2019 ou en 2020. Elle
ne respecte pas non plus le retour qu’elle doit au CSE en échange de sa
subvention, avec les salariés qui en ont bénéficiés et les montants. Enfin,
aucune publicité n’est faite aux
salariés parisiens sur l’existence de cette association, et mieux, l’aéroclub
est carrément absent du site du CSE ! Tout cela sent fort l’arrangement entre amis ! Elle demande et obtient pourtant
des milliers d’euros de subventions régulièrement ! Par
le passé, des élus CFDT avaient été dénigrés en public par l’affichage de
tract avec accusation nominative très élégante, non signé, dans les cafet’
des sites parisiens, d’avoir « supprimé » l’association et privé
les salariés de subventions... L’association avait annoncé sa dissolution,
puis seulement celle de l’aéroclub, pour finalement ne jamais être modifiée. Cela
met en perspective les annonces du trésorier lors de ce CSE… Vos élus voient plutôt une nouvelle façon de ne pas répondre aux questions légitimes sur l’utilisation des milliers d’€ de subventions des 3 dernières années… |
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