Quand la direction prend en otage les syndicats pour la négociation de la prime de pouvoir d’achat dite « prime Macron »
Après Janvier, sans signature des syndicats :
pas de prime !!!
Au vue des montants minimalistes qu’elle propose, la
direction ne prend pas ses responsabilités pour assumer ses choix et impose aux
syndicats ce simulacre de négociation, d’autant plus qu’elle a imposé des
négociations par entreprise, tout en
précisant que ce serait le même accord pour tous dans toutes les sociétés du
groupe. (SSG, SBS, HR, CIMPA, I2S).
Soit 6777 salariés SSG (50%)
Soit 418 salariés SBS
(28,4%)
Soit 149 salariés HR (16,6%)
Soit 547 salariés chez I2S
(34%)
Soit 300 salariés CIMPA
(32%)
Et pour Axway : les yeux pour pleurer !
Et pour Axway : les yeux pour pleurer !
Soit 8191 salariés sur les 18960
en France (13518 salarié.e.s chez SSG, 1480 chez SBS, 895 chez HR, 1596 chez
I2S-Beamap, 921 chez CIMPA, 462 chez Axway)
NB : La prime est proratisé et donc peut être moindre pour un salarié éligible.
Elle est versé sur la paie de mars.
Enveloppe ridicule (budget total = environ 1 .600.000€ pour SSG), au vue de ce qui est redistribué aux
actionnaires et aux hauts salaires !
La
CFDT a quand même décidé de signer l’accord
ce qui donne «un petit plus» aux petits salaires, mais nous ne sommes en aucun
cas complices de cette mascarade !!!
(*) Pour bénéficier de la prime, il faut remplir des
conditions cumulatives : être titulaire d’un contrat de travail en cours le
31/12/2018, puis avoir perçu une rémunération en 2018, puis avoir perçu pendant
l’année 2018 une rémunération brute inférieure ou égale à 40000€, pour un
salarié à temps plein.
La prime qui sera versée, est
proportionnelle au temps de présence et inversement, proportionnelle au temps
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