Et voilà en pièce jointe l’Essentiel des CE SSG de fin
février 2019, pour
vous informer de tout ce qui se passe.
Au menu, de nombreux sujets :
·
Stratégie
de l’entreprise
·
Nouveau
RH, mais pas encore l’indépendance..
·
Notation secrète des salariés : rien à signaler ?
Demandez vos infos perso
·
Augmentations 2019
·
Dispositif d’alerte : aucune confidentialité !
·
RTT restants : posez-les, ne les donnez pas aux
actionnaires J
·
Heures sup défiscalisées
·
…
n Point 1 :
Stratégie de l’entreprise : toujours les mêmes objectifs mais nous
sommes en retard…
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P. Pasquier
vient nous présenter la stratégie du groupe pour 2019, les grands axes :
-
La
transformation digitale avec le développement de l’expertise sur
l’intelligence artificielle, le Cloud, Datascience, Blockchain…
-
La
transformation RH avec son dispositif RH et ses nouvelles offres de
formation.
-
Un
renforcement sur tout le groupe du consulting pour le faire passer à 15% du
chiffre d’affaire.
-
Un
renforcement des activités de Software, avec notamment la mise en place de la
Digital eXperience Platform, ces activités ayant toujours faits la
spécificité de SSG par rapport à ces concurrents.
Les élus
s’inquiètent de savoir si cette nouvelle transformation RH aura un impact sur
le Turn Over, les réponses de P. Pasquier sont assez évasives sur le sujet,
et on ne le sent pas totalement concerné par le sujet.
À la
question, pourquoi ne pas recruter des BAC +2 au lieu des BAC +5, peut être
plus motivés sur le long terme, selon la volonté de l’entreprise depuis des
années ; la réponse n’est pas un NON catégorique cette fois-ci. En effet
P. Pasquier est l’exemple type du bon fonctionnement de l’ascenseur social en
France !
Mais
cette présentation par P. Pasquier est surtout l’occasion pour lui de
réaffirmer qu’en dépit de nombreuses sollicitations, il ne vendra pas SSG au
plus offrant, enfin lui vivant…
Il
s’emporte pour finir sur les communications remettant en cause les dossiers
de CIR, CICE produits par SSG afin de bénéficier des aides de l’état, ces
aides représentent quand même 1 à 2 % du résultat net de l’entreprise.
Pour lui,
tous ces dossiers sont conformes à la demande, et ne sont en aucun cas un
alibi pour toucher ces aides publiques, il est même prêt à recevoir avec V. Paris,
tous ceux qui trouveraient ces dossiers inadaptés à l’esprit du CIR et
CICE !! Bonne chance.
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n Point 2 : Points
entrées/sorties
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Peu de changement sur le
front des démissions en ce début d’année, les démissions sont au même niveau
que les années précédentes : plus de 300 démissions rien que pour le
mois de janvier.
La transformation RH,
présentée comme le remède miracle à tous les maux, n’apporte pas ces fruits
pour l’instant !! Rendez-vous dans quelques mois pour en savoir plus. À
moins que la direction ait oublié de transformer sa politique salariale.
C. Malargé nous fait un focus
sur le site de Toulouse : le marché est tendu, il y a eu 240 salariés en
plus en 2018 dont 130 mutations. Airbus connait quelques difficultés avec
l’arrêt du programme sur l’A380 qui pourrait lui coûtait 10 milliards
d’euros. C. Malargé nous affirme que les difficultés d’Airbus seront sans
impact pour SSG.
Sur CIMPA, la croissance a
décru, le Turn over a augmenté en passant à 10%. L’activité hors airbus est
de 20%, la volonté est de passer à 30%.
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n Point 3 : Demande
d’un point sur l’indépendance effective manager RH/DA
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Comment un manager RH peut être indépendant
des opérationnels quand lui-même est un ancien opérationnel et qu’il n’est
pas sûr de garder sa place bien longtemps ? Personne ne peut dire
combien de temps le nouveau dispositif RH pourra durer. Aussi cette
indépendance parait, pour beaucoup d’élus, bien relative.
Malgré une demande le mois dernier,
toujours pas de liste de responsables qui ont le pouvoir de licenciement sur
les différents sites. Une chose est certaine, la DRH s’occupe de chaque
licenciement au cas par cas.
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n Point 5 :
Point d’avancement sur la consultation sur le projet de nouveau modèle de
managements
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Une
réunion de présentation des nouveaux outils de Gestion du workflow des
différents Entretiens (PAP, CRH, Objectifs de mission, demande de formation,
bilan de Mission) aura lieu Lundi 18 Mars auprès des membres de l’IC CHSCT…
Malheureusement les outils ne sont pas disponibles ! Réunion donc un peu
« légère » !
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n Point 6 : Échelles
d’appréciation du « potentiel », demande du nombre
de salariés au niveau « D » et mesures spécifiques
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Sur ce point, la confusion de la
direction n’a d’égal que son embarra, la déclaration de la CFDT résume bien
la situation :
« La CFDT constate qu’au
moins depuis juillet 2009, la direction a mis en place un système de notation parallèle des salariés sans en
informer ni les instances représentatives du personnel, ni les
salariés, ce qui est totalement illégal. De plus, les
notes données (A, B, C ou D) n’ont à aucun moment été partagées avec les
salariés concernés, qui n’avaient donc aucune idée de cette notation
secrète, ce qui constitue également une illégalité flagrante.
Ceci
a été découvert par les élus CE en novembre 2018, à l’occasion de la demande
de salariés et élus de leurs données personnelles dans le cadre de la RGPD. Ils
ont alors découvert dans les données « CRH » (comité Ressources
Humaines, qui statue sur les performances et évolutions des salariés deux
fois par an) une colonne « évolution » comprenant une note par
semestre depuis des années.
L’existence
d’une telle notation secrète avait déjà été soupçonnée il y a plusieurs
années par certains DP et élus CHSCT. Aux questions sur ce thème des élus, la direction a toujours répondu qu’aucune notation de
ce type n’existait. Mensonge.
De
plus, les élus ont constaté que les données de la colonne
« performances » de leurs données personnelles ne correspondent pas
à la note partagée avec le salarié en bilan de mission ou entretien
d’évaluation PAP. On donne donc une note au salarié, et on en enregistre une
autre dans le SI, et c’est elle qu’on prend en compte dans les CRH, sans en
informer le salarié.
Suite
à la demande des élus du CE en CE fin novembre 2018, la direction a enfin
présenté au CE fin janvier 2019 une note de 3 slides pour présenter cette
notation évolution (A, B, C, D), qu’elle présente comme nouvelle. Et la
direction s’est arrêtée là…
Aucune
information aux salariés, aucune aux CHSCT dont c’est le rôle, et les
salariés qui demandent leur note suite au CRH de janvier, se voient répondre
que ce n’est pas une donnée restituée aux salariés !
La direction est dans l’illégalité depuis au moins 10 ans, et
s’y complait. »
La direction ne nous apporte aucune explication digne
de ce nom.
Nous vous rappelons que pour demander vos données
personnelles, il suffit d’en faire la demande
auprès
du délégué
à la protection des données (DPO) à tout moment en adressant un e-mail à
l'adresse suivante : acces-cnil@soprasteria.com.
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n Point 7 :
Demande du CE de la décision de la Direction concernant la prime exceptionnelle
de pouvoir d’achat. Point sur le ROA et l’intéressement.
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Bien que
tardive, la direction a pris sa décision, il y aura possibilité d’une prime
défiscalisée dite Macron et des négociations précipitées auront lieu sur la
première quinzaine de mars, fin des négociations le 15 mars, pour un éventuel
versement de la prime fin mars.
Le
ROA ne sera pas à la hauteur du budget en 2019, or l’intéressement a été
signé sur ce résultat de rentabilité de l’entreprise et surtout signé
quelques jours avant l’annonce du profit warning de juillet 2018.
Pour
respecter le principe de loyauté de la direction aux yeux des salariés, les OS
demandent la réouverture des négociations sur cet accord d’intéressement,
ainsi que la possibilité d’un sur-intéressement en 2019, compte tenu de la faiblesse de l’intéressement
prévu pour cette année.
V. Paris
semble favorable à ces différentes demandes.
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n Point 8 : Premiers retour sur les augmentations 2019 et
retour CRH
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Les
chiffres des augmentations pour 2018 sont tombés.
Pour
les résultats globaux, nous avons :
Sur
les retours CRH, la direction ne veut toujours pas de représentant du
personnel pour assister à ces réunions très privées entre amis.
On
le comprend mieux quand on s’aperçoit qu’elle affecte à chacun de nous une
note d’évolution sans nous en informer depuis de nombreuses années, ce qui
est totalement illégal (voir le point 6).
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n Point 9 :
Harcèlement sexuel
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Le nouveau référent sexisme sera notre
DRH : Mme Hélène Grignon Boulon.
L’affichage de cette Information sera fait sur
chacun des sites ainsi que sur F2F.
À part cette information, rien sur des mesures
éventuellement prises par la direction sur ce sujet.
Pas plus de communication en vue.
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n Point 11 :
Projets de Travail du dimanche
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Un
réfèrent sur le Temps de Travail sera nommé sur chacun des sites et répondra
aux questions sur le travail du dimanche, les heures supplémentaires, les
astreintes, les récupérations et conseillera sur la saisie ad hoc dans
l’outil Pléiade.
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n Point 12 :
Embauche d’un (de) travailleur(s) étranger(s)
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Ce mois-ci, toujours pas de consultation sur
l’embauche de travailleur étranger bien que 15 embauches soit faites sur le
site de Manhattan (15 APS), et une sur le site de Pau (1 passeport Talent).
Nous apprenons que le CE n’est pas consulté
quand il s’agit d’embauche dans le cadre d’une autorisation provisoire de
séjour (APS), elle concerne des étudiants étrangers (sauf européen) récemment diplômés d'un établissement français et qui
souhaitent travailler en France à l'issue de leurs études supérieures, elle est valable un an, de même quand il
s’agit d’un étranger embaucher dans le cadre d’un passeport Talent.
Il
s’agit des étrangers (sauf citoyen d'un pays européen
ou Algérien) souhaitant travailler en France plus de 3 mois, ils peuvent
bénéficier d'une carte de séjour pluriannuelle passeport talent. La carte est délivrée
dans plusieurs situations, notamment si la personne est hautement qualifiée, et
souhaite créer une entreprise ou investir en France. Elle est valable 4 ans
maximum et renouvelable.
Dans
ce contexte, les consultations du CE vont se réduire comme peau de chagrin.
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n Point 13 :
Consultation du comité d’entreprise Sopra Steria concernant le dispositif
d’alerte
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Conformément
aux dispositions de la loi « Sapin 2 », SSG met en place un
dispositif d’alerte destiné à recueillir des signalements émanant de salariés
et relatifs à l’existence de conduites ou de situations contraires au code de
conduite de la société. Ce dispositif
s’applique à tous les pays. Le référent groupe pour ce dispositif sera Sophie
Dangu. Le comité d’éthique constitué dans le cadre de ce droit d’alerte pour
SSG sera composé
-
de
la directrice de conformité : Sophie Dangu.
-
du
DAF : Etienne du Vignaux.
-
de
la DRH : Hélène Grignon Boulon.
-
de
la directrice juridique : Yvane Hulin.
La CFDT
rédige l’avis suivant sur ce dispositif qui devrait être mis en place depuis
2017 :
« La direction ne respecte
pas la loi Sapin 2 depuis le 1er juin 2017.
Le
dispositif d’alerte présenté ne respecte pas les obligations légales de la
direction en la matière, notamment en termes de protection du lanceur
d’alerte et de la confidentialité de son identité.
(…)
Le
dispositif d’alerte présenté ne répond en rien aux dispositions légales et les
élus s’interrogent sur le respect des droits et la protection du lanceur
d’alerte comme de la personne visée. La loi exige
que le dispositif d’alerte garantisse la stricte confidentialité. Or la note
présentée ne garantit rien, bien au contraire la liste des personnes
impliquées, informées et connaissant l’identité du lanceur d’alerte peut être
élargie à volonté par la direction sans aucune contrainte. Quant à
l’archivage des données et à une « soi-disant » politique générale
de conservation des archives en vigueur à SSG, la direction affirme qu’il n’y
a aucun document alors que les élus demandent. Les élus s’étonnent de ces
réponse puisqu’en CE comme en CHSCT la direction a affirmé que les mails
étant conservées sans limite de durée de conservation.
Les
élus demandent la modification du document (…)
Encore
ce jour les élus remarquent qu’ils n’ont pas eu communication :
-
De
la liste des référents désignés et du moyen pour les salariés d’en trouver
les coordonnées ;
-
De
la publicité que la direction va faire pour informer les salariés de
l’existence de ce dispositif.
Ce
soi-disant dispositif d’alerte a été construit de manière à décourager
les salariés de l’utiliser.
Pour
toutes ces raisons, le CE émet un avis extrêmement négatif sur le dispositif
d’alerte proposé. »
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n Point 14 :
Congés payés et RTT
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Ci-dessous,
les JRTT (salariés au forfait heure) et les JRS (salariés au forfait jour)
non pris au 31/12/2018 :
Donc
en moyenne, plus de 2 jours de RTT non pris par salarié à fin décembre 2018.
Nous vous rappelons
que vous avez jusqu’au 31 mars pour poser ces 2 jours de RTT.
Sans
cela, la direction les récupéra, dans quel profit ?
Nouvelle
question sur les indemnités de congés payés régularisées en juillet de chaque
année.
La
direction est incapable de nous énumérer les règles de calcul et les
différents éléments rentrant dans ces règles de calcul ainsi que l’assiette
de calcul, la question sera reposée le mois prochain et nous espérons bien
avoir des règles précises. À suivre.
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n Point 15 :
Paye et prélèvement à la source : trésorerie pour l’entreprise !
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Nous
apprenons que le prélèvement à la source va générer un surplus de trésorerie de 5 millions d’euros, SSG peut en tirer
des intérêts jusqu’au 8 de chaque mois, date à laquelle elle devra verser le
PAS aux impôts… Un retour de cet avantage aux salariés ? …
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n Point 16 :
Point RH
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Point
sur les heures supplémentaires exonérées de cotisations sociales et non
imposables, notamment les heures supplémentaires structurelles :
Toutes
ces heures seront exonérées et non imposables, une information sera envoyée
aux salariés.
Politique
de prévention des RPS dans le cadre d’exécution de contrat type TMA : la direction nous renvoie à la
négociation QVT et s’il ne se passe rien la seule responsable est la
négociation, bien que cela soit de l’obligation de l’employeur.
La
CFDT fait remarquer que cette négociation devrait être au sens de la loi annuelle, or celle-ci a commencé en
2017 et pour l’instant rien n’en est sorti hormis l’accord sur les IK Vélo.
La
CFDT demande que cette négociation soit réintégrée dans celle des NAO
(annuelles), pas de réponse de la direction.
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n Point 17 :
Respect RGPD
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800 demandes
Individuelles de fournitures des données ont été enregistrées.
La direction n’avait
pas envisagé un tel volume. Le délai maximum des 3 mois sera surement dépassé…
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n Point 18 :
Plan de prévention
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La
direction concède que l’on est loin d’être au même niveau partout.
L’Ingénieur
Hygiène et Sécurité recruté en 2018 devrait prendre en charge la
structuration de l’élaboration des plans de prévention en 2019, une fois sa
première mission sur le Document Unique terminée.
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n Point 19 : Le
CE demande de structurer et d’homogénéiser ses opérations de communication
interne afin de supprimer toute ambiguïté avec les actions du comité
d’entreprise
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La
direction s’engage à échanger systématiquement avec le CE Local avant le
lancement de ses opérations et continuer pérennisent dans cette logique.
Un
réfèrent sera nommé : Jean Charles Tarlier qui devra faire un tour de
France d’information et de situation.
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