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Une juste répartition des profits
Le
partage des gains de l’entreprise entre les salariés et les actionnaires doit
être repensé
n « La CFDT demande à la direction générale de revoir
sa copie ! »
En 2018 le constat
est sans équivoque : la direction continue sur sa lancée et privilégie
uniquement les actionnaires. Scandaleux et inacceptable pour une entreprise où
le taux de départ dépasse les 20% en 2018 !
La CFDT est déjà dans un bras de fer avec la direction sur ce sujet et va
persévérer. Il est impensable qu’une entreprise avec un taux de départ aussi
élevé ne comprenne pas que la
rémunération est LE SUJET N°1.
La fidélisation
des salariés passe par leur rémunération. C’est évident, mais actuellement
réservé aux seuls directeurs les mieux payés (en 2018 à SSG : en moyenne
+4600€/an pour les 10% plus hauts salaires contre +500€/an pour les 10% plus
bas) !
La CFDT veut faire changer cette façon de répartir les profits.
n « Le partage doit permettre à toutes et tous de
récolter les fruits du travail »
En 2018, une
égalité entre salariés et actionnaires aurait représenté environ 3000€ par
salarié !
• négocier un accord de
participation digne d’un grand groupe,
• négocier un accord
d’intéressement pour faire évoluer le calcul de son déclenchement et ainsi
augmenter les montants distribués,
• faire pression sur le Conseil d’Administration,
par le biais des élus du CSE, en l’alertant systématiquement sur ces disparités
comme cela a été fait lors de cette mandature,
• porter nos revendications
salariales à l’assemblée des actionnaires,
La CFDT sera présente sur tous les
fronts pour obtenir gain de cause pour tout.e.s !
Un
salaire décent qui évolue
n « Il ne doit plus y avoir aucun.e salarié.e
rémunéré.e au minimum Syntec à Sopra Steria »
Evidemment !
La CFDT ne peut tolérer qu’il existe encore des salariés payés
aux minima Syntec alors qu’en 2018, la moyenne des salaires des 1100 salariés
de SSG en I3.2 avoisine les 80k€/an HORS variable !
La CFDT portera cette exigence lors des négociations annuelles obligatoires
avec comme revendication principale la mise en place d’un accord.
Lors des
négociations annuelles sur les rémunérations la CFDT portera cette revendication
devant la direction pour en finir avec l’idée que les minima Syntec sont
normaux ! Ils ne le sont pas !
Au CSE, la CFDT luttera pour suivre ces salariés et pour vérifier leurs augmentations
afin d’obtenir gain de cause.
« Obtenir que le
salaire minimum
dans chaque classification
soit 10% supérieur au salaire minimal
de l’accord de branche »
dans chaque classification
soit 10% supérieur au salaire minimal
de l’accord de branche »
n « Le coût de la vie évolue : nos salaires
doivent évoluer aussi ! »
Quand le prix des
produits de tous les jours grimpe régulièrement et quand les prix de vente et
les profits augmentent, les salaires doivent eux aussi évoluer ! Et pas
que les salaires des directeurs : tous les salaires !
La CFDT sera force de proposition pour que la direction mette en place un
système de revalorisation des salaires en fonction du coût de la vie.
Lors des négociations annuelles sur les rémunérations, la
CFDT appuiera cette demande pour faire comprendre à la direction qu’il est
primordial de revoir le fonctionnement des augmentations : elle doit
mettre en place une augmentation générale liée au coût de la vie.
« Le
salaire de chacun.e doit évoluer
en fonction du coût de la vie,
cela passe, en plus des augmentations individuelles,
par la mise en place d’une augmentation générale »
en fonction du coût de la vie,
cela passe, en plus des augmentations individuelles,
par la mise en place d’une augmentation générale »
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