Bonjour à toutes et à tous,
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Transmettez autour de vous ! La CFDT vous informe en avant-première des négociations en cours et des nouveautés, en vous abonnant simplement à la liste Essentiel pour cela un mail à essentiel-soprasteria+subscribe@googlegroups.com !
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Et voilà pour vous ci-joint en exclusivité l’Essentiel de la réunion du CSE SSG des 21 et 22 octobre, qui a été prolongée le 4 novembre. Vous retrouverez dans votre résumé :
è les demandes de télétravail régulier : à savoir !
è Disparition de la société Beamap !
è les infos économiques Groupe et SSG France
è 2 nouveaux représentants de proximité à Manhattan et Montpellier !
è résultat du nouveau modèle de management et CRH, SSG s’assoit sur la loi
è Changement de prestataire santé : au revoir Gras Savoye, bonjour Viventer
è Cas contact positif sur le lieu de travail : déclarez-les !
è des ordres du jour du CSE toujours aussi bloqués
è les associations locales financées par le CSE et les drôles de règles de certaines
Etc…
Bonne lecture !
Entrée de CSE :
Déclarations CFDT |
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Les 3 déclarations CFDT en entrée du
CSE concernant l’ordre du jour : 1ère déclaration : dénonciation des méthodes
utilisées pour constituer l’ordre du jour Manifestement, il n’y a aucune
volonté de la part de la présidence de l’instance CSE, de revenir à un
déroulement normal et faire cesser, pour des raisons maintes et maintes fois
expliquées, ce fonctionnement préjudiciable aux représentants du personnel et
aux salariés. Les élus et
le représentant syndical CFDT dénoncent ces méthodes qui masquent parfois la
gravité des problèmes remontés. Les
élus et le représentant syndical CFDT demandent une nouvelle fois à la
direction et au secrétaire d’intégrer les points tels que rédigés par les
élus. » 2ème déclaration : question17 – Téléphonie et la
non-réponse de la direction « Lors du CSE ordinaire du
mois d’octobre, la CFDT a posé nombre de questions dont certaines sur une
modification des conditions de travail des salariés, qui avait été abordée
lors d’un CSEC le 13 octobre, et aucunement dans cette instance : la
téléphonie. La direction, dans sa réponse à
ces questions précises concernant uniquement les salariés Sopra Steria, a
répondu en citant un texte, attribué par elle au CSE, alors qu’aucun débat,
ni information n’a été officiellement porté à la connaissance de cette
instance. Alors, soit le texte est attribué de façon erronée au CSE, soit
un débat, information et consultation a eu lieu sans que les élus CFDT en
aient la moindre trace et souvenir, ce que nous ne pouvons croire. La CFDT demande à la direction
de préciser l’origine de ce texte. Cependant, cette question est annexe. La vraie question est : quand la direction va-t-elle
répondre aux questions sur ce changement des conditions de travail des
salariés que la CFDT rappelle ci-dessous et qui n’étaient que le prélude de
ses questions sur ce sujet : ·
Y aura-t-il une
suppression des téléphones fixes sur tous les sites, et quand ? ·
Y aura-t-il une
suppression de téléphone pour le CSE ? Pour les locaux syndicaux ? (N’oubliez
pas l’obligation légale de fournir un local avec une ligne téléphonique
indépendante) ·
Comment un salarié
contactera-t-il la médecine du travail ? ·
Quelles seront les
conditions d’accès aux appels extérieurs depuis Teams ? La CFDT rappelle les compétences du CSE sur le changement des
conditions de travail des salariés. Au vu de nos spécificités, la CFDT demande une information
consultation du CSE SSG sur ce sujet afin de détecter et corriger tous les
problèmes que va poser cette décision unilatérale de la direction. Pire, les élus du
CSE SSG n'ont même eu aucune information sur le sujet et ne savent pas ce qui
est prévu pour tous les salariés et quand. La CFDT relève de l’entrave au CSE au vu de la décision prise,
de la non information préalable de l’instance et de l’impact important sur la
sécurité des salariés. » 3ème déclaration : demande d’information sur les nouveaux
outils, refusée à l’ordre du jour « Les élus CFDT du Comité Social et
Économique Sopra Steria Group relèvent trois nouvelles entraves au
fonctionnement de l’instance CSE. C’est quand même un comble que ce soient encore
les élus qui demandent à inscrire à l’ordre du jour des informations sur l’introduction de nouveaux outils alors
que la direction est au courant mais muette envers les élus concernant : -
le nouvel outil
My Personal Data (RGPG accès à ses données personnelles par un salarié) -
le nouvel outil
TECH’ME UP (en lien avec le référentiel Métiers) déjà utilisé à certains
endroits -
le nouvel outil
de saisie du télétravail régulier et les évolutions sous PTA déployés depuis
le 8 octobre dernier Malgré nos demandes, ces points n’ont pas été repris et refusés à
l’ordre du jour. Les élus rappellent à la direction la compétence du CSE sur tout changement
dans les conditions de travail des salariés et qu’elle se doit légalement
d’informer et de consulter le CSE AVANT toute décision de ce type de
projet, comme le précise l’article L2312-8 du code du travail. À ce jour, aucun de ces points n’a été prévu à
l’ordre du jour du CSE, aucune information, et encore moins de consultation,
alors qu’il ne s’agit plus de projets, mais de décisions déjà entérinées. » |
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Point 2.6 : Disparition de la société Beamap ! |
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Il était une fois la société Beamap. Société
stratégique il y a quelques années pour la DG, cette dernière nous apprend
aujourd’hui qu’il n’y a plus un seul salarié rattaché à cette entité. Mystère :
mais où est donc passé la vingtaine de salariés encore présente fin 2019
? De questions en questions,
pendant plus d’une heure, vos élus CFDT arrivent à arracher la vérité à la
direction : si certains sont partis vers d’autres horizons, on apprend
que la direction a proposé des contrats tripartites au 9 restants en mai 2021
afin qu’ils rejoignent la société Sopra Steria. Aucune négociation
collective, aucune vérification des droits qu’avaient les salariés à Beamap
et des potentielles pertes en terme de salaire, congés ou autres en arrivant
à Sopra. Tout est sous contrôle … mais pas le bon, celui de la direction
qui déplace les salariés de structures en structures, toute seule, dans son
coin, comme ça l’arrange pour au final fermer une société. On ne peut rien dire sur le fait
que stratégiquement il faille fermer Beamap qui n’a plus d’intérêts
stratégiques pour la DG mais la méthode pour y arriver est scandaleuse et malheureusement
bien connue : diviser pour mieux régner. Pourquoi ne pas mettre en place
un plan de cessation d’activité avec des propositions de reclassement
collectives des salariés à Sopra Steria ? Pourquoi ne pas traiter les
choses comme la loi l’exige ? Vos élus CFDT n’arrivent pas
comprendre ce qui s’est réellement passé lors des transferts des salariés
depuis Beamap vers Sopra. La direction nous demande de voter pour ou contre
la dissolution sans liquidation de Beamap, mais vos élus CFDT ne se sentent
pas du tout assez informés pour rendre un avis. « Les élus CFDT
constatent que : • Depuis
l’arrivée de Beamap dans Sopra Steria, ils n’ont jamais eu aucune information
financière, notamment, a minima pour celle concernant l’année 2020 ; • Le
transfert de la société n'a pas été fait dans les formes prévues au sens de
l'article L1224-1. En effet, 9 salariés à fin mai 2021 (alors que Beamap
avait 21 salariés à fin 2019) ont été embauchés par Sopra Steria Next via un
nouveau contrat de travail dans le Centre d’Expertise Digital (CED), sans que
les élus aient eu la moindre information. Il s'agit pourtant bien d'un
transfert, mais la direction a préféré négocier individuellement avec les
salariés concernés. • Les
usages et droits de ces salariés se sont éteints avec le choix de la
direction de contourner les règles de l’art, le code du travail en
l’occurrence. Au passage, c'est encore une nouvelle
entrave au CSE. » |
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Vincent PARIS : Pas d’inquiétude, tout est en ligne par rapport aux engagements
pris en juillet et les objectifs de fin d’année restent tout à fait
accessibles. Le marché reste très actif, les entreprises lancent de nouveaux
Business et cela devrait perdurer sur les prochains semestres. La partie « DIGITAL » devrait être particulièrement
porteuse. Le recrutement est toujours difficile et le turn-over monte, il pourra
monter encore. Il est supérieur à 2020, mais encore inférieur aux années
précédentes. Au niveau des risques : il y a toujours des projets tendus
(Santé Social ; Transports, SAP (Allemagne)) par rapport aux
dépassements de budget. Real Estate présente toujours
des risques sur le Delivery et sur une perte de production. Un frein sur les
ventes est engagé. Ghislain HAURAT a été nommé comme nouveau patron de cette
entité. |
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Point 2.2 : Informations économiques France |
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Cyril MALARGE : Présentation
de Gregory WINTREBERT, adjoint au pôle France. Situation opérationnelle : tous les voyants sont au vert par rapport au Business, nous
sommes dans un marché dynamique. Les gros enjeux RH seront le recrutement et
la fidélisation. Normandie-Nord-Est : des contrats gagnés CNAS, MATMUT. Peu d’interchantier (15), le
re-staffing ne semble pas poser de problème, des profils SAP revenant de chez
Decathlon sont considérés comme une force de frappe. Auvergne Rhône-Alpes : le renouvellement du contrat VOLVO a été reçu comme une bonne
nouvelle car moins attendu. Très belles affaires SAP gagnées chez CANDIA et
EUROMASTER. Energie : ENGIE est dans la maîtrise de ses investissements et notre
grand compte EDF est fructueux tant sur la branche ENEDIS que sur le
nucléaire. Méditerranée : pas d’interchantier lourd, le marché reste dynamique. Vertical Télécom : ORANGE et OBS (dossiers sur le Cloud) ; gros dossiers à +
de 50M€ en attente. Transports :
SNCF renouvellements attendus, LICORNE belle affaire gagnée contre CAPGEMINI
avec un potentiel de 100 personnes réparties entre la France et l’Espagne. Aeroline : rebond très fort et majoritairement dû à la qualité des équipes
plutôt qu’à l’activité du marché. Du positif avec Safran,
Dassault, Ariane Group. Assurances : marché moins volumineux mais actif, SOCOVED (18M€ sur 3 ans),
le secteur a investi sur la transformation digitale. Banques : fortes demandes, notamment en régie et nous avons du mal à y
répondre. Défense & Sécurité : des décisions sont en attente (4/5 gros dossiers de + de 20M€)
le dénouement ne se fera qu’en 2022. Retail Auto : le pipeline s’enrichit Secteur Public : nous avons des dossiers au long cours GAP, CHORUS. Si ces
dossiers n’arrivent pas à terme en 2021, ils ont de fortes chances d’atterrir
beaucoup plus loin dans la perspective des élections de 2022 qui risquent d’y
apporter un gros frein. Les risques identifiés : il n’y aura pas de rupture entre la fin de cette année et le
début de l’année prochaine. Les
principaux risques sont le frein qui pourrait être causé par la
présidentielle, la pénurie des semi-conducteurs (impact sur PC, etc…) et qui
pourrait s’étaler jusqu’en 2023, et enfin la reprise du COVID. |
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Point 4 : Désignation des Représentants de Proximité |
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2 nouveaux Représentants de Proximité CFDT
ont été désignés ! Bienvenue à Patrick SOLON, nouveau Représentant de
Proximité sur Manhattan ! et à Cécile DOUHET, nouvelle Représentante de
Proximité sur Montpellier ! N’hésitez pas à les
contacter ! |
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Point 3.3 : info trimestrielles : formation, effectifs,
astreintes, suivi du nouveau modèle de management |
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Vos élus CFDT soulignent que le nouveau modèle de management ne
semble pas être un succès : Alors que la direction exigeait un entretien de mission tous les 6 mois, on est plutôt à un tous les
2 ans ! Car
seulement la moitié des salariés ont une évaluation sur mission de moins de 1
an ! soit ¼ de l’objectif ! Les CRH vont donc avoir lieu pour évaluer les salariés alors que
la moitié n’ont pas été rencontrés depuis plus d’un an ! Pour l’entretien d’évolution, ce n’est pas mieux, seuls 45,6% des salariés en auraient un
de moins de 2 ans (ou un PAP). La direction « se donne encore
un an » pour voir si cela marche ou non… Les élus CFDT
rappellent à la direction que l’entretien professionnel est obligatoire par
la loi depuis 2014 et qu’en 2021, la
loi n’est toujours pas respectée par Sopra Steria ! |
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Point 3.5 : Changement de prestataire santé : fin de Gras
Savoye et passage à Viventer |
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L’assureur santé ne change pas,
nous sommes toujours assurés par Klésia. Seul l’intermédiaire change. Si tout se passe comme prévu : - Aucun impact sur les cotisations - Aucun impact sur les garanties - Continuité de traitement des dossiers en cours assurée par les
gestionnaires sortant et entrant : o
Les
justificatifs en possession de Gras Savoye sont normalement transmis à
Viventer o
Il n’est
pas nécessaire de refaire les devis validés par Gras Savoye - Les dossiers d’affiliation seront pré alimentés et chaque assuré
devra valider son propre dossier sur le site de Viventer. Un mail vous sera envoyé courant
novembre pour vous informer des changements et de la date d’ouverture de la
plateforme pour validation de votre dossier. Vos codes de connexion vous
seront envoyés par courrier et mail (pour ceux ayant un mail actif sur Gras
Savoye). L’ouverture des espaces salariés
et la mise à disposition des cartes de 1/3 payant en format électronique
seront effectives au 1er janvier 2022. Si un salarié ne valide pas son
dossier, pas de conséquence… il s’agit de vérifier que les données transmises
sont exactes : contacts, ayant droits, coordonnées, … N’oubliez pas de
les vérifier ! |
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Point 2.3 : Effectifs |
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Les
élus sont inquiets : sans les achats de sociétés, l’effectif serait en
baisse en France depuis plusieurs années. Les embauches sont plus faibles, et
la direction ne se donne pas les moyens d’inverser la tendance. |
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Point 3.1 : Mise en œuvre du télétravail régulier |
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L’outil de saisie de demande de
télétravail régulier est ouvert depuis début octobre. L’outil PTA a également
été adapté pour la saisie et la planification des jours. Au 19 octobre : 6 344 demandes saisies, 4 164
demandes traitées dont 35 refusées. 96% des demandes sont faites par les
salariés. Les demandes de 3 jours ne pouvant être effectuées que par les
managers, le chiffre de 96% est faussé car il ne contient pas les demandes de
3 jours souhaitées par les salariés (en accord avec leur manager). 1 jour : 240 demandes 2 jours : 5 875 demandes 3 jours : 229 demandes Concernant le délai de réponse : 3 657 <= 14 jours
et 507 > 14 jours Vos élus CFDT indiquent que des demandes réalisées par mail
avant la mise à disposition de l’outil n’ont pas été remontées dans celui-ci,
bien qu’elles aient été réalisées dans les délais. Les salariés concernés ont
été obligés de ressaisir leur demande. À quoi servent les outils :
Petit rappel des délais de prévenance :
Informations importantes : -
Les
personnes en Interchantier en télétravail régulier bénéficient des 20€
d’indemnités. - Pour la régularisation de
demandes d’indemnisation pour les mois antérieurs à octobre, vous pouvez les
saisir dans Traveldoo en utilisant la nature « Frais professionnels divers » et en indiquant en commentaire le
motif et le mois de régularisation. - Attention ! Le télétravail
occasionnel ne donne pas droit aux 20€ d’indemnisation ! Ne
vous laissez pas embarquer dans un télétravail occasionnel qui ne
correspondrait pas à la définition de celui-ci (cf. accord). Le management peut demander du
télétravail régulier, même temporairement, s’il y a un besoin ! |
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Point 3.4 : Harcèlements
sexuels et agissements sexistes |
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La référente harcèlement,
également DRH Groupe, dont la double casquette est hautement critiquable, a
eu à traiter une alerte. Le manager concerné, après enquête, a écopé d’une
mise à pied de 5 jours. C’est dans ce genre de situation que l’on comprend
que la référente harcèlement en charge de la recevabilité de l’alerte et de
l’enquête est également la juge qui sanctionne. Ce qui dans des cas graves se
termine par une remontrance du manager et un licenciement ou une proposition
de rupture conventionnelle de la victime. |
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Point 5.1 : Bureau, commissions du CSE, Groupe de travail du CSE,… |
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Le CSE subventionne certaines
associations d’activités locales qui proposent des activités aux salariés.
Seulement, certaines ne jouent pas le jeu : elles ne respectent pas la
règle de 50% de subvention maximum par activité, et elles ne donnent même pas
la liste des salariés bénéficiaires des subventions ! Commet s’assurer
de l’utilisation conforme des fonds ? Nous demandons au trésorier de
demander des explications à ces associations sur 2019 et 2020 (et pas
seulement de modifier la façon de faire en 2021). |
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Point 6 : Points Divers : cas contact COVID positif sur le
lieu de travail |
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Nous demandons à la direction si
elle a déclaré comme Accident de Travail les cas de contamination au Covid
sur les lieux de travail (cas contact positif). Elle s’y refuse ! Attention ! Nous invitons
tous les salariés positifs suite à un cas contact sur le lieu de travail à se
déclarer ! Garder les mails échangés avec l’assistante, le chef, etc. Le
but est de bien tracer votre infection sur le lieu de travail ! En
effet, le Covid est déjà reconnu
maladie professionnelle pour certaines professions et cela pourrait s’étendre.
En l’absence de connaissance sur ces effets à long terme, soyez
prudents ! Si suite à un covid, vous vous retrouviez sans possibilité de
travailler pour cause de covid invalidant ou de ses conséquences, une
reconnaissance de maladie pro change tout, avec rente associée ! |
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Point 2.5 : Partenariat SSG/Cyber Campus |
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Un
partenariat dont on ne connaît pas exactement le montage juridique, à
l’initiative du Président de la République, permettrait à Sopra Steria
d’occuper le devant de la scène en matière de cyber sécurité. À cette fin, le
consortium a pris des locaux à La Défense dont 50 postes sont prévus pour
Sopra Steria dont 25 fixes… Une
exception au Flex Office. |
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Point 5.2 : Règlement Intérieur de la Commission des marchés du
CSE |
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Un CSE de notre taille est obligé d’avoir une commission des
marchés et de respecter les règles d’appel d’offre pour tous les contrats
supérieurs à un certain montant. Cette commission avait été mise en place lors de la précédente
mandature par une de vos élue CFDT ayant une grande expérience en ce domaine.
Elle en avait écrit son Règlement Intérieur (RI), qui définit les règles de
fonctionnement de cette commission. Les élus majoritaires ont souhaité
modifié le fonctionnement de cette commission et donc son RI, qui doit alors
être voté en CSE par tous les élus. Jusque-là tout va bien. C’est quand on regarde les modifications que le bât blesse. Une modification, non annoncée comme telle mais relevée par les
élus CFDT, carrément incohérente et non compatible avec la loi. Suite à un
long débat et l’appui du directeur juridique de SSG, les élus majoritaires
modifient leur rédaction pour revenir à une version cohérente. Par contre,
pour les autres modifications, rien à faire ! Les
nouvelles règles sont dangereuses et ne respectent plus la nécessité de
transparence et de rigueur indispensable pour des marchés de plus de 30 000€.
Que la période de covid permette transitoirement de passer à un mode dégradé,
personne ne le conteste. Mais la CFDT ne peut valider que ce mode dégradé
soit la norme ! Les élus
majoritaires ne veulent rien entendre et ouvrent la brèche à des possibles plaintes et dérives… Les règles sont validées par la majorité. Plus d’ouverture des
enveloppes cachetées devant tous les membres au moment de la réunion, assurant
ainsi la validité de l’appel d’offre et de son dépouillement et évitant toute
contestation et fraude ! Des mails sont envoyés avec une copie des courriers,
ouvrant la possibilité de renvoi, partage, accusation de triche, etc… Les
offres sont désormais ouvertes par la présidente seule. Pour les éventuelles réunions
en physique, alors que le CSE a son siège à Paris ( plus facile d’accès pour
les provinciaux venant de partout), le lieu de la réunion est désormais le
site de la présidente de la commission, et tant pis pour les autres ou le
côté pratique ! |
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