Vos élus CFDT sont impliqués depuis des années dans les contrats santé et prévoyance du groupe (N’hésitez pas à nous contacter !).
Nous avons obtenu
l’engagement de la direction que la prochaine augmentation porterait sur les
tranches C des salaires (les salaires les plus hauts).
Nous avons obtenu des changements pour la
gestion des arrêts maladie longue durée pour qu’enfin les salariés n’attendent
pas 2 mois leur paiement et puisse comprendre leur bulletin de paie !
Bref, vos élus
CFDT sont les seuls à proposer et à suivre les sujets sur ce thème qui concernent
TOUS les salariés du groupe et leur famille.
La direction a empêché
vos représentants du personnel d’assister à la dernière réunion, et ce, alors qu’il
n’y a qu’une réunion trimestrielle (au mieux) !
Déclaration de l’élue CSE SSG CFDT de cette commission, faite en réunion de CSE de fin juillet :
« La
commission prévoyance santé, concerne 100% des salariés de l’UES, ainsi que
leurs familles. Aujourd’hui, je ne vous ferais pas de retour en CSE sur la
dernière réunion de cette commission comme j’en ai l’habitude. Pourtant il y a
bien eu une réunion le 6 juillet dernier, comme prévu depuis la dernière
réunion, le 10 mars 2023.
Le lundi 3
juillet à 20h, autant dire le mardi 4 juillet, nous avons reçu la convocation
et avons découvert que cette réunion prévue le jeudi se tiendrait physiquement
à Paris. Les réunions de cette commission se tiennent par teams depuis des
mois.
Pour ma part,
j’ai immédiatement cherché un train pour le jeudi pour Paris. En cette semaine
de départ en grandes vacances, impossible. J’ai adressé un mail à M Tulard,
expliquant que ce changement était soudain, qu’il était impossible d’être physiquement
à Paris le jeudi et demandant une audio teams pour pouvoir y assister.
Je passerais sur
mon implication dans cette commission et sur les questions, les remarques et
propositions qui viennent presque toutes des élus CFDT.
La direction a
sciemment organisé le fait que je ne puisse pas assister à la réunion, comme
sans doute d’autres collègues provinciaux, non prévenus et ne pouvant se
déplacer pour le surlendemain.
Le plus choquant
n’est sans doute pas l’entrave faite par la direction, qui écarte les
représentants des salariés des réunions où ils sont légitimes.
Le plus choquant
est peut-être l’absence totale de réponse.
Non seulement la
direction nomme un représentant juridique et non RH pour le dialogue social,
mais encore celui-ci n’a-t-il pas la plus élémentaire correction de répondre à
un mail personnellement adressé sur un point d’organisation (sans polémique).
Le non-respect du minimum de politesse par un des responsables du dialogue social montre bien l’état déplorable du dialogue social dans l’entreprise. »
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