« Les élus prennent bonne note du fait que le salarié irremplaçable puisse être 1 mois après remplacé par 2 autres salariés, bien que ceux ci ne l’aient jamais fait.
Nous remarquons qu’un salarié intervient 3 dimanche sur 5, ce qui nous parait excessif.
Le travail du dimanche est une régression, sociale, nous ne voulons pas que le travail du dimanche
devienne un jour de travail comme les autres. Pour les élus le travail du dimanche doit rester exceptionnel et ne saurait se banaliser comme un autre jour de la semaine.
Nous remarquons qu’un salarié intervient 3 dimanche sur 5, ce qui nous parait excessif.
Le travail du dimanche est une régression, sociale, nous ne voulons pas que le travail du dimanche
devienne un jour de travail comme les autres. Pour les élus le travail du dimanche doit rester exceptionnel et ne saurait se banaliser comme un autre jour de la semaine.
Le travail du dimanche est basé sur le volontariat et reste soumis à l’accord du salarié.
Pour chaque heure travaillée le dimanche, au choix du salarié :
Récupération de 2 heures de repos
Ou
Récupération d’une heure de repos + paiement d’une heure.
Nous demandons la mise en place d’un vrai processus d’appel au volontariat. »
Point 9 : Rupture Conventionnelle chez Sopra
La direction revient sur ces propos de 2012, non, il n’y a pas d’acceptation de Rupture Conventionnelle pour les salariés qui veulent se reconvertir ou pour ceux dont le conjoint est muté. La direction ne voit pas pourquoi elle accepterait les demandes de ces cas particuliers.
Elle affirme sa position : la rupture conventionnelle ne se fait que s’il y a une « volonté » de séparation des 2 côtés ! Le nombre de ruptures conventionnelles chez Sopra est en très forte hausse (7 en 2011 et 55 en 2013), et il y a une « ouverture » depuis 2 ans sur ce thème.
Vos élus rappellent que si la direction a une « volonté » de se séparer d’un salarié, elle n’a qu’à le licencier. La rupture conventionnelle n’a pas été prévue pour cela et cela prouve bien l’utilisation détournée qu’en fait la direction !
L’explication donnée en 2012 était acceptable pour vos élus InterSyndicale, puisqu’il s’agissait de 2 cas compréhensibles. La réponse ce jour et les témoignages de salariés (« si tu ne signes pas cette rupture conventionnelle, je te licencie et je pourris ta réputation localement ») indique bien que les ruptures conventionnelles chez Sopra ne sont que des licenciements déguisés, sans possible recours aux prud’hommes !
La méfiance et le refus de la CFDT de ces ruptures conventionnelles sont donc cruellement justifiés.
A la question : y’a-t-il des ruptures conventionnelles demandées par les salariés et acceptées par la direction ?, celle-ci ne veut pas répondre…
Silence criant.
Point 12 : Accès aux procédures et accords de l’entreprise sur F2F
Si vous cherchez les procédures Sopra et les accords en vigueur sur F2F, bonne chance !
La nouvelle mouture de l’intranet a définitivement complexifié les choses pour ces documents pourtant « de référence ».
La direction promet une refonte… à suivre…
En attendant, n’hésitez pas à contacter vos élus CFDT!
Point 7 : Formation des salariés pour le maintien de leurs compétences et leur capacité à occuper un emploi
Vos élus dénoncent la politique de formation de Sopra désormais entièrement axée sur l’utilitaire à court terme, et qui ne tient aucun compte de l’intérêt et de la carrière du salarié.
Les formations ne sont données que si elles sont impératives rapidement pour les besoins d’un projet. Quid des besoins du salarié ? D’être formé, pour pouvoir évoluer, rester compétents ou simplement s’entrainer à apprendre et changer !
Il n’est pas normal de ne recevoir aucune formation pendant des années, puis de se voir projeter dans une technologie totalement nouvelle après 10 ans sur la même technologie vieillissante ! Et en plus certains hiérarchiques trouvent le moyen de faire des reproches au salarié qui ne s’adapte pas assez vite !
La direction est malheureusement bien silencieuse…
Point 8 : élus municipaux et salarié
Vous avez un mandat d’élu et désirez bénéficiez de droits d’absences ou de crédit d’heures, c’est possible sous certaines conditions.
Le droit d’absence : les conseillers municipaux, généraux et régionaux, ainsi que les membres de l’Assemblée de Corse et du conseil exécutif de celle-ci ont le droit de bénéficier d’autorisations d’absence pour se rendre et participer :
Le crédit d’heures : les élus locaux peuvent recourir à un crédit d’heures leur permettant de disposer du temps nécessaire :
Il dépend du mandat et de la collectivité.
En cas de travail à temps partiel, ce crédit d’heure est réduit proportionnellement à la réduction du temps de travail.
Les élus doivent informer leur employeur 3 jours au moins avant leur absence, en précisant la date et la durée de celle ci, ainsi que la durée du crédit d’heures à laquelle ils ont encore droit au titre du trimestre en cours.
Point important : si l’employeur doit faire droit aux demandes d’absences, il n’est toutefois pas tenu de les rémunérer. Cependant ces temps d’absence sont assimilés à une durée de travail effective pour la détermination de la durée des congés payés ainsi que des droits découlant de l’ancienneté.
Donc attention, l’employeur n’a pas le droit de vous imposer de les prendre par demi-journée
sous prétexte que l’outil de saisie d’activité est à la demi-journée et ces absences ne doivent pas donner lieu à diminution de vos congés ou de votre ancienneté.
La solution proposée par la direction de Sopra, notez dans votre CRA, dans la zone commentaire, le nombre exact d’heures prises dans le mois et le motif « mandat d’élu ».
Point 13 : Management par le stress : Télécom, Rennes et le Bios …
Nous dénoncions sur le projet BIOS un mail du responsable de projet, en accord avec toute la hiérarchie, très agressif et menaçant de représailles aux CRH, alors même que ce projet avait déjà été visé par une alerte du CHSCT de Rennes, suivi d’une enquête conjointe avec la direction, mettant en évidence la souffrance des salariés.
La direction nous répond aujourd’hui que le mail était d’une « grande maladresse » et que le manageur a fait l’objet d’un « recadrage ». Comme c’est délicat !
Nous demandons quelle est la communication prévue aux salariés… silence… Il est révélateur de voir comme certaines « maladresses » de manageurs ont peu de conséquences pour eux, alors que
de simples salariés sont virés pour moins que cela pour des oublis ou boulettes bien humaines…
Point 19 : Méthode Agile chez Sopra
Une présentation très globale de cette méthode est faite. Et l’on apprend qu’elle est utilisée en cachette du CE depuis plusieurs années. Et ce alors que CE et CHSCT devraient être consultés avant toute mise en place de telle méthode !
Et la taille des équipes ? Et le niveau d’expérience des salariés dans ce type d’équipe ? Et le poste de « Scrum master » qui ne colle en rien au « CP » classique et peine à se faire évaluer ? Et la réunion d’évaluation des charges sensée être collective à tous les salariés ?...
La direction doit donc revenir vers le CE pour une présentation détaillée… enfin !
Point 6 : Commissions du CE
Commission Loisirs Paris : Une élue CEi s’offusque : c’est normal qu’elle ne soit jamais présente pour travailler aux commissions Loisirs Paris, car elle n’est jamais informée des dates de réunions. Nous lui répondons que pourtant le principe de base du mardi précédent le CE chaque mois a été acté en 2013, et que de plus, la date de la prochaine réunion est notée dans les CR des commissions qu’elle reçoit chaque mois (sans les lire semble-t-il). Elle agresse en plein CE une élue CFDT « T'as pas intérêt à te pointer au bowling, sinon je te préviens... » ! Ambiance ! On comprend mieux pourquoi cette élue est exceptionnellement venue à la réunion du CE… Idem pour un autre élu CEi auquel le CR ne plait pas ! On comprend vraiment ce à quoi les élus CEi passent leur temps et leur motivations pour venir en CE : pouvoir agresser les élus syndiqués ! Utile…
Présentation aux salariés : Les élus CEi sont offusqués : un élu CFDT Rennais organise une réunion
d’information sur le thème de la fusion Sopra-Steria pour les salariés Rennais et les prévient en utilisant la newsletter du CE ! Scandale, la présentation n’a pas été validée par tous les élus et évidemment les CEi … et la direction inquiète tant qu’on y est ? Cette pratique est monnaie courante sur d’autres sites (utilisation de la newsletter pour informer les salariés) mais là ça pose problème. Sujet trop ‘sensible’ ?
Point 9 : Rupture Conventionnelle chez Sopra
La direction revient sur ces propos de 2012, non, il n’y a pas d’acceptation de Rupture Conventionnelle pour les salariés qui veulent se reconvertir ou pour ceux dont le conjoint est muté. La direction ne voit pas pourquoi elle accepterait les demandes de ces cas particuliers.
Elle affirme sa position : la rupture conventionnelle ne se fait que s’il y a une « volonté » de séparation des 2 côtés ! Le nombre de ruptures conventionnelles chez Sopra est en très forte hausse (7 en 2011 et 55 en 2013), et il y a une « ouverture » depuis 2 ans sur ce thème.
Vos élus rappellent que si la direction a une « volonté » de se séparer d’un salarié, elle n’a qu’à le licencier. La rupture conventionnelle n’a pas été prévue pour cela et cela prouve bien l’utilisation détournée qu’en fait la direction !
L’explication donnée en 2012 était acceptable pour vos élus InterSyndicale, puisqu’il s’agissait de 2 cas compréhensibles. La réponse ce jour et les témoignages de salariés (« si tu ne signes pas cette rupture conventionnelle, je te licencie et je pourris ta réputation localement ») indique bien que les ruptures conventionnelles chez Sopra ne sont que des licenciements déguisés, sans possible recours aux prud’hommes !
La méfiance et le refus de la CFDT de ces ruptures conventionnelles sont donc cruellement justifiés.
A la question : y’a-t-il des ruptures conventionnelles demandées par les salariés et acceptées par la direction ?, celle-ci ne veut pas répondre…
Silence criant.
Point 12 : Accès aux procédures et accords de l’entreprise sur F2F
Si vous cherchez les procédures Sopra et les accords en vigueur sur F2F, bonne chance !
La nouvelle mouture de l’intranet a définitivement complexifié les choses pour ces documents pourtant « de référence ».
La direction promet une refonte… à suivre…
En attendant, n’hésitez pas à contacter vos élus CFDT!
Point 7 : Formation des salariés pour le maintien de leurs compétences et leur capacité à occuper un emploi
Vos élus dénoncent la politique de formation de Sopra désormais entièrement axée sur l’utilitaire à court terme, et qui ne tient aucun compte de l’intérêt et de la carrière du salarié.
Les formations ne sont données que si elles sont impératives rapidement pour les besoins d’un projet. Quid des besoins du salarié ? D’être formé, pour pouvoir évoluer, rester compétents ou simplement s’entrainer à apprendre et changer !
Il n’est pas normal de ne recevoir aucune formation pendant des années, puis de se voir projeter dans une technologie totalement nouvelle après 10 ans sur la même technologie vieillissante ! Et en plus certains hiérarchiques trouvent le moyen de faire des reproches au salarié qui ne s’adapte pas assez vite !
La direction est malheureusement bien silencieuse…
Point 8 : élus municipaux et salarié
Vous avez un mandat d’élu et désirez bénéficiez de droits d’absences ou de crédit d’heures, c’est possible sous certaines conditions.
Le droit d’absence : les conseillers municipaux, généraux et régionaux, ainsi que les membres de l’Assemblée de Corse et du conseil exécutif de celle-ci ont le droit de bénéficier d’autorisations d’absence pour se rendre et participer :
- aux séances plénières de leur assemblée ;
- aux réunions des commissions dont ils sont membres et instituées par une délibération de leur assemblée ;
- aux réunions des assemblées délibérantes et des bureaux des organismes où ils ont été désignés pour représenter leur collectivité.
Le crédit d’heures : les élus locaux peuvent recourir à un crédit d’heures leur permettant de disposer du temps nécessaire :
- à l’administration de leur collectivité ou de l’organisme auprès duquel ils représentent celle-ci ;
- à la préparation des réunions des instances où ils siègent.
Il dépend du mandat et de la collectivité.
En cas de travail à temps partiel, ce crédit d’heure est réduit proportionnellement à la réduction du temps de travail.
Les élus doivent informer leur employeur 3 jours au moins avant leur absence, en précisant la date et la durée de celle ci, ainsi que la durée du crédit d’heures à laquelle ils ont encore droit au titre du trimestre en cours.
Point important : si l’employeur doit faire droit aux demandes d’absences, il n’est toutefois pas tenu de les rémunérer. Cependant ces temps d’absence sont assimilés à une durée de travail effective pour la détermination de la durée des congés payés ainsi que des droits découlant de l’ancienneté.
Donc attention, l’employeur n’a pas le droit de vous imposer de les prendre par demi-journée
sous prétexte que l’outil de saisie d’activité est à la demi-journée et ces absences ne doivent pas donner lieu à diminution de vos congés ou de votre ancienneté.
La solution proposée par la direction de Sopra, notez dans votre CRA, dans la zone commentaire, le nombre exact d’heures prises dans le mois et le motif « mandat d’élu ».
Point 13 : Management par le stress : Télécom, Rennes et le Bios …
Nous dénoncions sur le projet BIOS un mail du responsable de projet, en accord avec toute la hiérarchie, très agressif et menaçant de représailles aux CRH, alors même que ce projet avait déjà été visé par une alerte du CHSCT de Rennes, suivi d’une enquête conjointe avec la direction, mettant en évidence la souffrance des salariés.
La direction nous répond aujourd’hui que le mail était d’une « grande maladresse » et que le manageur a fait l’objet d’un « recadrage ». Comme c’est délicat !
Nous demandons quelle est la communication prévue aux salariés… silence… Il est révélateur de voir comme certaines « maladresses » de manageurs ont peu de conséquences pour eux, alors que
de simples salariés sont virés pour moins que cela pour des oublis ou boulettes bien humaines…
Point 19 : Méthode Agile chez Sopra
Une présentation très globale de cette méthode est faite. Et l’on apprend qu’elle est utilisée en cachette du CE depuis plusieurs années. Et ce alors que CE et CHSCT devraient être consultés avant toute mise en place de telle méthode !
Et la taille des équipes ? Et le niveau d’expérience des salariés dans ce type d’équipe ? Et le poste de « Scrum master » qui ne colle en rien au « CP » classique et peine à se faire évaluer ? Et la réunion d’évaluation des charges sensée être collective à tous les salariés ?...
La direction doit donc revenir vers le CE pour une présentation détaillée… enfin !
Point 6 : Commissions du CE
Commission Loisirs Paris : Une élue CEi s’offusque : c’est normal qu’elle ne soit jamais présente pour travailler aux commissions Loisirs Paris, car elle n’est jamais informée des dates de réunions. Nous lui répondons que pourtant le principe de base du mardi précédent le CE chaque mois a été acté en 2013, et que de plus, la date de la prochaine réunion est notée dans les CR des commissions qu’elle reçoit chaque mois (sans les lire semble-t-il). Elle agresse en plein CE une élue CFDT « T'as pas intérêt à te pointer au bowling, sinon je te préviens... » ! Ambiance ! On comprend mieux pourquoi cette élue est exceptionnellement venue à la réunion du CE… Idem pour un autre élu CEi auquel le CR ne plait pas ! On comprend vraiment ce à quoi les élus CEi passent leur temps et leur motivations pour venir en CE : pouvoir agresser les élus syndiqués ! Utile…
Présentation aux salariés : Les élus CEi sont offusqués : un élu CFDT Rennais organise une réunion
d’information sur le thème de la fusion Sopra-Steria pour les salariés Rennais et les prévient en utilisant la newsletter du CE ! Scandale, la présentation n’a pas été validée par tous les élus et évidemment les CEi … et la direction inquiète tant qu’on y est ? Cette pratique est monnaie courante sur d’autres sites (utilisation de la newsletter pour informer les salariés) mais là ça pose problème. Sujet trop ‘sensible’ ?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire